Violence

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Une du Petit Journal en 1925, journal foncièrement anticommuniste

La violence est l’utilisation de force physique ou psychologique pour contraindre, dominer, causer des dommages ou la mort. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance.

1 Tendances historiques[modifier | modifier le wikicode]

1.1 Sociétés précapitalistes[modifier | modifier le wikicode]

On sait peu de choses sur les premières sociétés humaines (communisme primitif). Des études indiquent néanmoins qu'il y n'avait pas de guerres à proprement parler.

Très tôt, les idéologies dominantes intègrent des condamnations morales de la violence. Les religions par exemple (« Tu ne tueras point... »).

En Europe de l'Ouest, les chiffres bruts indiquent une baisse des meurtres :

  • 13e siècle : 100 meurtres pour 100 000 habitants ;
  • 17e siècle : 10 meurtres pour 100 000 habitants ;
  • 21e siècle : 1 meurtre pour 100 000 habitants.

Les duels, longtemps considérés comme formateurs pour les jeunes nobles porteurs d’épée, ont été interdits par Richelieu. L’infanticide a été condamné par la loi au 17e siècle.

Les guerres de la période médiévale détiennent sans doute les records historiques, comparativement : les conquêtes de Gengis Khan au 13e siècle avaient éradiqué 20% des habitant-e-s de la planète (4% pour les guerres du 20e siècle).

1.2 Capitalisme[modifier | modifier le wikicode]

1.2.1 Tendances contradictoires[modifier | modifier le wikicode]

Le capitalisme a des effets contradictoires sur la violence. Il a une tendance à faire diminuer la violence interpersonnelle (par l'amélioration des niveaux de vie et l'insertion plus massive des populations dans le marché du travail, par le monopole de la violence légitime aux mains de l'État...). Mais lorsqu'il conduit la société, par ses crises économiques et sociales, vers des situations révolutionnaires ou de montée du fascisme, voire de guerre, les violences peuvent brutalement se généraliser et dépasser les niveaux de violence ordinaire des sociétés précapitalistes. C'est une des illustrations de ce que disent les marxistes : le capitalisme créé des conditions qui permettent d'entrevoir une société socialiste, mais si on ne le renverse pas, il conduit à des horreurs (« socialisme ou barbarie »).

Années de vie perdues du fait de la violence collective ou légale en 2012 par million de personnes.
  • Pas de données
  • 0-7
  • 7-42
  • 43-43
  • 46-74
  • 96-96
  • 99-99
  • 136-326
  • 407-1,294
  • 1,345-167,918

1.2.2 Violence inter-personnelle et violence d'État[modifier | modifier le wikicode]

Selon la définition classique de Max Weber, « l'État revendique le monopole de la violence légitime ».[1] Historiquement, l'État bourgeois s'est construit en défaisant les autres groupes (féodaux, etc.) du droit d'utiliser la violence pour leur propre compte. Même si ce monopole peut être contesté (mafias, guérillas, terroristes...) il reste la caractéristique du fonctionnement de l'État bourgeois.

Ainsi les violences policières sont habituellement couvertes par l'État, et les grands médias reprennent généralement les affirmations des autorités (« journalisme de préfecture »), ce qui tend à les invisibiliser.

Les actes de violence venant de l'extérieur de la société sont, symétriquement, délégitimées. Elles ne le sont pas toutes de façon égales. Par exemple, des violences venant des couches populaires sont sévèrement réprimées et condamnées par l'opinion publique bourgeoise, même si dans certains cas (séquestration de patrons...), l'empathie venant du mouvement ouvrier rend le consensus moins solide. Dans les cas de mouvements venant des couches populaires les plus opprimées (révoltes de quartiers populaires...), la condamnation est quasi-générale. A l'inverse, dans le cas de mouvements petit-bourgeois, comme ceux des agriculteurs, les violences sont relativement tolérées.[2]

1.2.3 Guerres[modifier | modifier le wikicode]

L'économiste bourgeois Joseph Schumpeter soutenait dans son essai Contribution à une sociologie des impérialismes (1919) que le capitalisme contenait une tendance à la diminution des guerres, celles-ci étant désormais majoritairement rejetées par les populations, et devant donc être justifiées par les gouvernants. Il y a une part de vrai dans cette observation, mais elle est bien trop unilatérale. A l'époque où il écrivait était créée la Société des nations, c'est-à-dire pour la première fois une organisation mondiale avec pour but d'éviter les conflits. Mais cela n'a pas empêché la Deuxième guerre mondiale d'éclater, et de nombreuses autres guerres.

Après un 20e siècle particulièrement violent, la décennie 2001-2011 aurait été la moins violente de l'histoire.[3] La montée des tensions géopolitiques, dues aux rivalités entre impérialismes (états-unien, russe, chinois...) montre que la tendance à la barbarie du capitalisme plane toujours.

1.2.4 Violences patriarcales[modifier | modifier le wikicode]

Si les violences entre hommes régressent, celles à l’égard des femmes résistent et souvent ne sont même pas réprimées. Les viols (devenus un crime en 1810 seulement) restent la forme de violence la plus répandue et celle qui baisse le moins vite. Plus de 200 par jour, 75 000 par an en France. Sans compter que seuls un dixième d’entre eux sont déclarés, 80 % ayant lieu dans un cadre privé, du fait d’hommes connus de la victime, souvent membres de la famille. La violence conjugale tend à perdre en légitimité.

La violence des parents envers leurs enfants, d'abord légitimée comme naturelle et bénéfique, tend à être reconnue comme néfaste et condamnable.

🔍 Voir : Patriarcat.

1.2.5 Violences ordinaires[modifier | modifier le wikicode]

Dans les sociétés capitalistes riches, il y a eu une tendance à la baisse des violences ordinaires entre personnes dans la première moitié du 20e siècle, puis une hausse dans les années 1960-1970.[4][5]

Dans les décennies suivantes, il y a eu une tendance à la baisse.

En France, le taux de meurtres a été divisé par 2 de 1996 (1,73 pour 100 000) à 2014 (0,85). Pour toutes les autres formes de violence, y compris les vols, destructions de biens et incendies de voitures, la tendance est à la baisse.

La tendance à l’interdiction de la torture et de la peine de mort fait également partie de ce progrès.

Nombre d’homicides et de tentatives d’homicides en France

Dans un pays comme les États-Unis, en revanche, les violences restent parmi les plus élevées des pays du centre capitaliste. La question des armes à feu est centrale.[6]

Même si les niveaux de violence sont variables selon de nombreux facteurs entre pays, il existe une tendance à ce que la dynamique de l'évolution se suive, ce qui montre l'influence du système mondial qu'est le capitalisme.[4]

Évolution des taux d'homicide par 100 000 habitants au Canada et aux États-Unis (les échelles sont différentes pour les deux pays)


De même, il existe des différences importantes entre pays dominés.

1.2.6 Perception de la violence[modifier | modifier le wikicode]

La violence est notoirement un sujet qui fait de l'audience dans les médias. Mais cela connaît des variations en fonction de la situation. Quand, après la Seconde Guerre mondiale, un meurtre était commis dans une ville de province, seul le journal local le relayait. Aujourd’hui, c’est un événement national télévisé, notamment parce que c'est devenu plus rare.

L'analyse d'une série mensuelle de réponses des Français concernant la violence et la criminalité montre que :

  • Les fluctuations de l'inquiétude manifestée par l'opinion ne sont pas corrélées avec celles des crimes ou délits tels qu'enregistrés par les statistiques judiciaires.
  • Les pics d'inquiétude correspondent assez systématiquement à des événements impressionnants médiatisés et dont les victimes sont des gens « ordinaires » auxquels chacun peut s'identifier.[8]

La couverture médiatique varie aussi en fonction de la capacité de "s'identifier" aux victimes. Plus les morts sont "loins" moins on s'en soucie (les journalistes parlent du critère "morts x kilomètres"). Ainsi il arrive en permanence que des journaux télévisés parlent pendant 15 min d'un meurtre en France dû à un psychopathe, et seulement 5 min d'une guerre lointaine qui fait 100 morts par jour.

Cette identification est aussi construite socialement. D'abord par le nationalisme : si ce sont des "compatriotes" qui sont morts dans un accident d'avion lointain, la couverture médiatique sera tout de même importante. Construite aussi par le racisme : si ce sont des Blancs qui meurent, on en parlera davantage (dans les pays à majorité blanche) que si ce sont des Noirs. Et on parlera bien sûr davantage de la mort d'un Steve Jobs ou d'un Christophe Margerie que d'un SDF mort de froid en hiver.

1.2.7 Représentation de la violence[modifier | modifier le wikicode]

Dans le même temps, la mise en scène de la violence a atteint son paroxysme, que ce soit dans les films (une affiche de cinéma sur deux montre un homme tenant une arme), les jeux vidéos, les livres...

Alors pour certains, la représentation de la violence attise la violence, pour d'autres, elle la défoule.

1.2.8 Violence du système[modifier | modifier le wikicode]

L'idéologie dominante passe généralement sous silence l'impact qu'a le système sur la violence que nous subissons. Le capitalisme a la particularité d'avoir de très nombreux effets sur nos vies, mais de ne pas reposer sur les formes de coercition directe comme l'esclavage, le servage, etc. Il arrive donc à faire passer la plupart des phénomènes qui touchent les individus comme des choix individuels ou des interactions entre individus, sans rapport avec l'organisation de la société.

Ainsi, il n'est pas rare d'entendre que les personnes sans-abri, sans emploi, ou les personnes sous dépendance d'une substance le serait devenu par une série de choix personnels. Le socialiste Jean Jaurès avait osé mettre clairement en lumière cette violence quotidienne dans un célèbre discours à l'Assemblée en 1906 :

Ah ! les conditions de la lutte sont terriblement difficiles pour les ouvriers ! La violence, pour eux, c’est chose visible, palpable. Un geste de menace, il est vu, il est retenu. Une démarche d’intimidation est saisie, constatée, traînée devant les juges. Le propre de l’action ouvrière, dans ce conflit, lorsqu’elle s’exagère, lorsqu’elle s’exaspère, c’est de procéder, en effet, par la brutalité visible et saisissable des actes. Ah ! Le patronat n’a pas besoin, lui, pour exercer une action violente, de gestes désordonnés et de paroles tumultueuses ! Quelques hommes se rassemblent, à huis clos, dans la sécurité, dans l’intimité d’un conseil d’administration, et à quelques-uns, sans violence, sans gestes désordonnés, sans éclat de voix, comme des diplomates causant autour du tapis vert, ils décident que le salaire raisonnable sera refusé aux ouvriers ; ils décident que les ouvriers qui continueront la lutte seront exclus, seront chassés, seront désignés par des marques imperceptibles, mais connues des autres patrons, à l’universelle vindicte patronale. Cela ne fait pas de bruit ; c’est le travail meurtrier de la machine qui, dans son engrenage, dans ses laminoirs, dans ses courroies, a pris l’homme palpitant et criant ; la machine ne grince même pas et c’est en silence qu’elle le broie. [...] Ainsi, tandis que l’acte de violence de l’ouvrier apparaît toujours, est toujours défini, toujours aisément frappé, la responsabilité profonde et meurtrière des grands patrons, des grands capitalistes, elle se dérobe, elle s’évanouit dans une sorte d’obscurité.[9]

Dans la même veine, on peut citer cet extrait d'un poème de Brecht : « On dit d'un fleuve emportant tout qu'il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l'enserrent. »[10]

Ce type de violence sociale a d'innombrables conséquences en cascade, qui sont invisibilisées. Par exemple l'infographie ci-dessous laisse penser que l'immense majorité des causes de mortalités sont "auto-infligées", pour les opposer à la minorité des "autres" causes.

CauseMortsMonde.jpg

La consommation de tabac et d'alcool sont pourtant imposées aux populations par de puissants groupes capitalistes (Philipp Morris, FFVA...) qui ont interêt à vendre leurs produits le plus largement possible.[11] La prévention et les campagnes anti-tabac et anti-alcool ne font pas le poids face à une culture de l'alcool et du tabac (à travers la publicité ou le cinéma) qui tente de faire oublier leurs effets néfastes et les rend parfois incontournables.

De plus, de nombreuses études ont démontré que l'on meurt plus de consommation d'alcool ou de tabac lorsque l'on est un prolétaire que si l'on ne l'est pas.[12] De même pour les accidents de la route.

Enfin, les suicides font souvent penser à des peines de cœur, des cas particuliers de harcèlement, etc. Même si ces causes ne sont pas à nier, il existe un lien très fort entre les suicides et la violence du système capitaliste : Les crises économiques, la peur de perdre son emploi, les angoisses liées à l'argent, la misère matérielle, etc. sont autant de raisons qui poussent au suicide.

Par exemple, le nombre de suicides s'est envolé en Grèce à partir de la crise de 2008 pour décrocher le record d'Europe.[13] Ou bien, dans la seule ville de Berlin lors de l'année 1933, on compte en moyenne plus d'un suicide par jour.[14]

2 Violence politique[modifier | modifier le wikicode]

2.1 Violence d'extrême droite[modifier | modifier le wikicode]

La violence est valorisée par l'extrême droite, comme outil, mais aussi quasiment comme fin en soi.

Comme outil car l'extrême droite se perçoit comme devant sauver le pays face à la "décadence", et donc s'en prendre aux ennemis de l'intérieur (nombreuses agressions, attentats...). Elle peut même parfois accepter l'idée de "révolution", dans l'objectif de restaurer un ordre passé[15].

Comme fin en soi pour les plus extrémistes, qui en font une question d'épanouissement du virilisme, de la volonté de puissance de l'homme, etc.

Un grand nombre de politologues distinguent deux groupes au sein de l'extrême droite ("far right") en fonction du rapport à la violence :

  • Ceux qui prônent la violence même illégale, qui sont appelés « droite extrémiste » ("extreme right").
  • Ceux qui acceptent de se plier (au moins dans un premier temps) à la loi et aux règles institutionnelles, qui sont appelés « droite extrême » ou « droite radicale populiste ».[16][17]

Même si la haine (notamment raciste) progresse, la violence est encore relativement mal vue et largement condamnée dans l'opinion. En Allemagne, du fait de l'histoire, un consensus politique existe depuis l'après-guerre pour interdire les organisations d'extrême droite les plus violentes[18].

Cependant, cette barrière morale peut vite céder en cas de crise. Au plus fort de la crise de la dette en Grèce (2012), le parti néo-nazi Aube dorée s'est brusquement renforcé (avec énormément de soutiens dans la police), et les milices du parti a menaçaient des journalistes, investissaient des bureaux de vote, formaient des groupes pour attaquer physiquement des immigrés ou des militants de gauche...

On a pu voir également une explosion des violences de groupes d'extrême droite pendant la campagne des législatives de 2024, le RN étant aux portes du pouvoir. Cette explosion de violence n'a quasiment pas eu de couverture médiatique. Il y a également des appels aux meurtres d'avocats et de personnalités de gauche[19], de Roms[20]...

2.2 Violence et révolution[modifier | modifier le wikicode]

Les communistes révolutionnaires considèrent presque tous que la violence révolutionnaire est inévitable. Il ne s'agit pas d'un idéal de violence, mais d'un constat que le capitalisme est défendu par la classe bourgeoise qui en tire profit, et qui utilise toujours les moyens répressifs de l'Etat lorsque sa domination est menacée.

La « violence révolutionnaire » des opprimés contre l'État a été justifiée par Marx et Engels (pour qui l'État est le « bras armé de la bourgeoisie »), par Walter Benjamin[21], ou par les Black Panthers (pour qui le racisme institutionnel justifiait la constitution de milices d'auto-défense). Nelson Mandela disait :

C'est toujours l'oppresseur, non l'opprimé qui détermine la forme de lutte. Si l'oppresseur utilise la violence, l'opprimé n'aura pas d'autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n'était qu'une forme de légitime défense.[22]

Les communistes considèrent généralement que ce n'est pas le mouvement ouvrier qui doit prendre l'initiative de la violence, mais qu'il doit toujours savoir se tenir prêt, et faire la démonstration que ce n'est pas lui qui est porteur de violence, mais la réaction. Cela entre en contradiction avec d'autres tendances du mouvement social, qu'elles se revendiquent du populisme (Narodnaïa Volia...), de l'anarchisme (partisans de la propagande par le fait...), de l'autonomie (certains Black Blocks...), de mouvements « communistes » divers (FARC, Comando Vermelho...) etc. Le mouvement communiste lui-même est bien sûr soumis à ce même clivage, entre d'un côté une tentation gauchiste (fusillade de la rue Damrémont par exemple) et le légalisme par principe qui caractérise les PC définitivement stalinisés.

La question de l'utilisation de la violence dans la lutte sociale continue à faire l'objet de profonds débats dans l'extrême gauche.

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3 Notes et sources[modifier | modifier le wikicode]

  1. Max Weber, Le Savant et le politique, 1919
  2. Frustration Magazine, Pourquoi les agriculteurs ont-ils le droit de tout casser ?, Déc 2023
  3. Herodote.net, 2001-2021 - Un monde moins violent que jamais
  4. 4,0 et 4,1 Maurice Cusson, “Les cycles de la criminalité et de la sécurité”, Un article publié dans la Revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique. Vol. 64, no 2, pp. 131-154., 2011
  5. Marc Ouimet, « Analyse de l’évolution des données sur la criminalité, les tribunaux criminels et les services correctionnels au Québec de 1962 à 2008 ». Traité de criminologie empirique, édité par Marc Le Blanc et Maurice Cusson, Presses de l’Université de Montréal, 2010
  6. Wikipédia, Violences par arme à feu aux États-Unis
  7. « Amérique latine: 5 fois plus de meurtres qu'en moyenne dans le monde », dans Le Monde du 08-10-2008, [lire en ligne]
  8. Hugues Lagrange, La perception de la violence par l'opinion publique, Revue française de sociologie, vol. 25, no 4
  9. Violence patronale, violence ouvrière (Jaurès et Clemenceau, 1906)
  10. Bertolt Brecht, Über die Gewalt (Sur la violence), poème écrit en exil dans les premières années du nazisme, publié en allemand en 1964
  11. https://www.cairn.info/revue-les-tribunes-de-la-sante1-2013-2-page-63.htm#:~:text=Le%20lobbying%20des%20cigarettiers%20en,politiques%20opposent%20%C3%A0%20ces%20lobbies.
  12. http://www.alterecoplus.fr/en-direct-de-la-recherche/pourquoi-les-pauvres-fument-ils-toujours-autant-201509091440-00002018.html
  13. https://www.20minutes.fr/economie/792576-20110922-nombre-suicides-augmente-40-grece-cause-crise
  14. https://academic.oup.com/book/12715/chapter-abstract/162785468?redirectedFrom=fulltext
  15. nicolaslebourg, « Extrême droite : l’enjeu de la définition », sur Fragments sur les Temps Présents, (consulté le 5 juin 2024)
  16. Chaîne Philoxime, L'extrême droite, c'est quoi ?, 5 juin 2024
  17. Elyamine Settoul et Emmanuelle Bertout, « Quand une radicalisation en cache une autre : sociologie des mouvances d’ultra-droite française », Confluences Méditerranée, vol. 121, no 2,‎ , p. 81–93 (ISSN 1148-2664, DOI 10.3917/come.121.0081, lire en ligne)
  18. http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_organisations_d%27extr%C3%AAme_droite_interdites_en_Allemagne
  19. Libération, Le site d’extrême droite Réseau libre récidive et appelle à tuer des élus de gauche et un avocat, 8 juillet 2024
  20. Publication du 26 juin 2024 (ici screené sur X)
  21. Walter Benjamin, Thèses sur le concept d'histoire
  22. Nelson Mandela, Un long chemin vers la liberté, 1996