Scandale
Un scandale est une affaire médiatique soulevant l'indignation d'une part importante de l'opinion publique.
Ce qui suscite un scandale dépend donc de la morale et de l'idéologie dominante. Un scandale peut jouer un rôle progressiste aussi bien que réactionnaire selon les situations.
Régulièrement, des scandales éclatent au sujet de politiciens corrompus ou de capitalistes véreux, qui nuisent gravement à l'intérêt général. Le discours dominant cherche souvent à en faire des cas individuels, ramenant tout à la morale des individus, au lieu de pointer le fait que la société capitaliste favorise structurellement ces tentations en permettant à une minorité d'obtenir un pouvoir démesuré par rapport au reste de la population.
Exposer au grand jour des scandales touchant des puissants est souvent risqué. Les personnes qui font cela sont appelés des lanceuses d'alertes.[V 1]
1 Types et exemples de scandales[modifier | modifier le wikicode]
1.1 Scandales impliquant des puissants[modifier | modifier le wikicode]
La position de pouvoir des bourgeois les incite à en tirer des profits personnels, y compris par des méthodes illégales, voire parfois de véritables complots. Il ne faut cependant pas croire que leur pouvoir repose là dessus. L'essentiel de la richesse capitaliste provient de l'exploitation du salariat, totalement « légale » et légitimée par l'idéologie dominante (et ne faisant donc pas scandale). Même en imaginant une absence totale de corruption et de complots, la bourgeoisie continuerait à dominer.
1.1.1 Corruption de politiciens[modifier | modifier le wikicode]
Les politiciens de droite français ont fréquemment des affaires cumulant plusieurs aspects, souvent de fraude fiscale, de corruption, de financement illicite de campagnes, voire de méthodes mafieuses.
En 2010 est révélée l'affaire Woerth-Bettencourt. Le majordome de la milliardaire Liliane Bettencourt avait enregistré des échanges entre elle et Eric Woerth, révélant une affaire de fraude fiscale et de soupçon de financement illégal de la campagne de Sarkozy de 2007 (Woerth était trésorier de l'UMP jusqu'en 2007, date à laquelle il devient ministre du Budget...). Peu après, les locaux de trois journaux — Le Monde, Le Point et Mediapart — sont cambriolés et les ordinateurs portables des journalistes chargés de l'affaire sont dérobés.
En 2012, un nouveau volet s'ouvre, l'affaire Sarkozy-Kadhafi (le dictateur libyen aurait versé 50 millions d'euros à l'UMP pour la campagne de 2007). En 2014 Sarkozy a corrompu un magistrat pour obtenir des renseignements sur les enquêtes en cours, notamment les écoutes téléphoniques (Affaire Bismuth).
Affaires de blanchiment d'argent (Clearstream 1, 2001-2003), de corruption de la justice (Clearstream 2, 2004-2011), de collusion entre Macron et McKinsey...
L'affaire Cahuzac (2012) est un double scandale, étant non seulement une affaire de fraude fiscale, mais étant le fait d'un ministre délégué au budget, qui prétend comme tous les politiciens bourgeois qu'il « faut se serrer la ceinture ».
De nombreuses autres affaires mêlant hommes d'affaires et politiciens ont lieu, depuis longtemps, dans les pays capitalistes : Scandale de Panama (1892), Banca Romana (1892), affaire Stavisky (1934)...
Entre 1993 et 2006, des politiciens et hauts fonctionnaires associés au Parti libéral ont falsifié des centaines de millions de factures de programmes de commandites gouvernementales, pour assurer la réélection de leurs candidats.
1.1.2 Fraude fiscale[modifier | modifier le wikicode]
Régulièrement, des documents fuitent dans la presse et révèlent les sommes d'argent incroyables qui sont dissimulées par les riches égoïstes dans des paradis fiscaux. On y trouve régulièrement des noms de politiciens ou d'hommes d'affaires célèbres.
Parmi les exemples : l'affaire UBS (2007), les LuxLeaks (2014), Panama Papers (2016), CumEx Files (2018, Pandora Papers (2021)...
1.1.3 Scandales sanitaires / alimentaires[modifier | modifier le wikicode]
Les affaires qui touchent l'industrie pharmaceutique font particulièrement scandale, parce qu'elles touchent à la santé des populations. De par la concentration du capital actuelle, un très grand nombre de personnes peuvent être affectées d'un coup en cas de problème avec un médicament, ce qui impose une grande responsabilité. Or, la logique du profit entre régulièrement en conflit avec ce principe de précaution.
Par exemple, plusieurs scandales ont touché des laboratoires pharmaceutiques qui savaient que leurs médicaments avaient des effets secondaires graves, mais qui les ont minimisé, ou ont caché les cas de contre-indication, et ont fini par retirer du marché ces médicaments après de gros scandales : affaire du Vioxx retiré en 2004, du Mediator en 2009...
Les lobbies des industries qui impactent la santé, comme l'amiante, le tabac, l'alcool, le sucre, ont injecté de gros moyens pour minimiser les risques, soit dans la publicité, soit en finançant des recherches pour détourner l'attention.
Certains scandales touchent parfois l'industrie alimentaire, entraînant des conséquences sanitaires. La fraude alimentaire existe depuis longtemps (farine coupée, alcool frelaté...), mais avec la concentration du capital, une industrie a la capacité d'impacter très rapidement un grand nombre de personnes, ce qui favorise la suspicion et les scandales. Une industrie n'a pas intérêt à causer une intoxication alimentaire de masse, mais la course à la rentabilité favorise la négligence dans les précautions.
D'autres fois, l'industrie alimentaire est coupable de tromperies qui n'ont pas de conséquence sanitaire, mais qui font néanmoins scandale, comme l'affaire de la viande de cheval en 2013. De façon plus générale, il y a beaucoup de produits qui ne sont pas de la qualité prétendue, sans que cela ait de conséquences sanitaires, et sans que cela éclate au grand jour. Par exemple en France, une épice sur deux serait frauduleuse[1].
Des services publics peuvent aussi être à l'origine de scandales, comme l'affaire du sang contaminé : suite à des manques de précaution, des patients ont été infectés par des maladies graves par des transfusions sanguines, dans plusieurs pays dans les années 1980 et 1990. Aux États-Unis, suite aux attentats du 11 septembre 2001, l'agence environnementale a étouffé des données montrant les risques pour la santé des poussières soulevées.
Enfin, on peut citer les scandales sanitaires relatifs à des conditions de travail qui sont dangereuses en toute connaissance de cause, et où des mesures de protection ne sont pas prises et les informations étouffées.
1.1.4 Scandales écologiques[modifier | modifier le wikicode]
Souvent liés à des scandales sanitaires, les scandales environnementaux éclatent lorsque des pollutions plus ou moins volontaires sont découvertes.
- Pollution des eaux : Pollution au mercure à Minamata (Japon) durant tout le début du 20e siècle. De 1952 à 1966, la Pacific Gas and Electric Company a pollué des eaux en Californie au Chrome 6, un cancérigène, en connaissance de cause.
- Pollution des sols : Par exemple le scandale du chlordécone aux Antilles françaises. Ce pesticide a continué d'être utilisé dans les plantations de bananes jusque dans les années 1990, alors qu'il a été interdit aux États-Unis dès 1976. Il aurait causé de nombreux cas de cancers de la prostate.
- Pollution de l'air : Par exemple suite à l'explosion de l'usine d'Union Carbide à Bhopal (1984), usine délabrée sans mesure de prévention suffisante.
- Décharges illégales de déchets (et toutes les pollutions liées).
1.1.5 Secret militaire et répression[modifier | modifier le wikicode]
Le domaine militaire est la plupart du temps couvert par le secret militaire. Sous ce secret se cache parfois des scandales, et la répression de celles et ceux qui révèlent ces scandales produit à son tour des scandales :
- L'entreprise Crypto AG a collaboré pendant des décennies avec les services secrets états-uniens et allemands, vendant des machines avec des portes dérobées permettant à ces services d'espionner le monde entier, y compris des alliés.[V 2]
- Par la suite avec des technologies plus modernes, la NSA se livre à un espionnage massif au mépris de la vie privée, que ce soit au sein des « pays ennemis », des « pays alliés », ou des États-Unis[2][3][4].
- Bavures de l'armée US en Afghanistan[5] et en Irak, révélées par Chelsea Manning.
- Reality Winner, travaillant dans les services secrets états-uniens, révèlera des documents militaires montant comment la Russie a aidé Trump dans l'élection de 2016, en manipulant l'opinion sur internet. Poursuivie par l'armée, elle fera 4 ans de prison.
- L'armée israélienne mène régulièrement des assassinats ciblés...
Des fausses informations sont parfois directement créées par des États dans l'intérêt de leur communication :
- le faux prétexte des armes de destruction massive avancé par les États-Unis pour envahir l'Irak en 2003 ;
- l'affaire de l'enfant crucifié dans le Donbass, inventée par la Russie en 2014.
La répression des États, surtout les plus autoritaires, s'abat sur celles et ceux qui diffusent des informations nuisant au pouvoir. Par exemple, la dictature chinoise a incarcéré la lanceuse d'alerte Zhang Zhan dont le seul crime était d'avoir alerté sur le début de l'épidémie de Covid 19 à Wuhan.
1.1.6 Scandales capitalistes[modifier | modifier le wikicode]
Dans certains cas, ce qui fait scandale, c'est directement l'attitude égoïste et vénale de certains capitalistes. Par exemple les revenus scandaleux que se versent les PDG, actionnaires[6], politiciens et les hauts fonctionnaires[7], alors qu'une grande partie de la population peine à survivre.
Quand des enquêtes révèlent que des grandes marques sous-traitent leur fabrication à des usines - souvent dans des pays pauvres - où les conditions de travail sont particulièrement atroces, cela peut faire scandale.[8]
Ou encore lorsque des entreprises étendent de façon toujours plus cynique la marchandisation et le brevetage du vivant, de biens vitaux... En 2015, Turing Pharmaceuticals augmente le prix du médicament Daraprim de 13,50 à 750 dollars, et son patron Martin Shkreli devient l'homme « le plus détesté des États-Unis ».
Il a été largement prouvé que les réseaux sociaux comme Facebook pouvaient être massivement utilisée par ceux qui sont prêts à payer pour manipuler l'opinion, notamment lors d'élections (affaire Cambridge Analytica...). Mais Facebook reste indifférent, et a même licencié une lanceuse d'alerte de chez eux...
Suite à la crise financière de 2008, la Société générale perd des milliards d'euros. La banque soutient alors que l'essentiel de ces pertes est due à un seul trader, Jérôme Kerviel, qui dissimulait des transactions. Celui-ci touchait d'importants bonus qui l'encourageaient à spéculer toujours plus, et sa hiérarchie fermait les yeux sur les sommes hors normes - donc suspecte - qu'il généraient, tant que la crise n'était pas là... De par le sentiment de défiance envers la finance, largement partagé dans la population, les sondages montrent que malgré le scandale, Kerviel bénéficie d'une image plutôt positive.
Mais en réalité, la quasi totalité des scandales évoquées sur cette page sont favorisés directement ou indirectement par le capitalisme, ce système de concurrence pour le profit.
Parfois, un abus de position dominante par un monopole ou une entente entre entreprises oligopolistiques, font scandale. Ce sont des « dérives » du point de vue du fonctionnement normal du marché, selon les idéologues du libéralisme économique. En réalité c'est ce même fonctionnement normal du capitalisme qui engendre la centralisation du capital et donc les pratiques des monopoles pour toujours plus de profits.
1.2 Autres scandales[modifier | modifier le wikicode]
1.2.1 Scandales journalistiques[modifier | modifier le wikicode]
Plusieurs scandales ont éclaté après la révélation d'informations parues dans la presse qui se sont avérées complètement fausses. Parfois il s'agit de mauvaises intentions, mais le plus souvent d'un emballement médiatique causé par la course à l'audimat, ce qui révèle indirectement à quel point la course au profit est nuisible pour la qualité de l'information.
Des journalistes (dont certains avaient reçu des prix Pulitzer) ont dû démissionner après que l'on ait appris qu'ils avaient falsifié des articles : Jack Kelley (USA Today), Stephen Glass (New Republic), Jayson Blair (New York Times), Claas Relotius (Spiegel), Janet Cooke (Washington Post)...
1.2.2 Scandales scientifiques[modifier | modifier le wikicode]
Il y a un certain nombre de cas de fraudes dans certaines études scientifiques. Un phénomène qui est marginal comparé au total des articles publiés, mais qui reste scandaleux, notamment dans le cas de la recherche biomédicale.[9]
Les conflits d'intérêts engendrent un biais structurel dans les études scientifiques, mais la plupart du temps, cela n'est pas directement du « mensonge » délibéré, et donc cela ne fait pas scandale. Par exemple, les industriels financent des études pour détourner l'attention de risques liés à leurs productions, en étudiant d'autres facteurs (qui sont souvent, en soi, tout à fait valables), pour fabriquer du doute.
1.2.3 Scandales artistiques[modifier | modifier le wikicode]
On parle parfois de scandales artistiques pour désigner le fait que des œuvres choquent un public. Cela peut être parce que l’œuvre a une portée politique plus ou moins explicite (Le Radeau de La Méduse de Géricault, Banksy...), parce qu'elle choque la morale, souvent en étant jugée trop vulgaire ou obscène (Le Caravage, Carpeaux, Goya, Manet...), ou simplement parce qu'elle est dénigrée comme du mauvais art (impressionnistes, Skandalkonzert, Malevitch...).
1.2.4 Scandales sportifs[modifier | modifier le wikicode]
Il y a des scandales dans les compétitions sportives, souvent lorsque l'on considère que l'égalité des chances est trop bafouée.
A une certaine époque, les grandes compétitions étaient réservées aux amateurs. Par exemple les Jeux olympiques n'ont admis les sportifs professionnels qu'en 1981, et les organisateurs traquaient l'amateurisme marron, c'est-à-dire le fait de se faire passer pour amateur alors que l'on reçoit de l'argent. Cette morale était justifiée par une certaine idée du fair play, qui étaient en fait très aristocratique (les épreuves phares des premiers JO, comme l'escrime, le tennis ou l'équitation, étaient pratiquée uniquement par des riches ayant la possibilité de s'y adonner sur leur temps libre, uniquement « pour le sport »). La démocratisation du sport est allée de pair avec la professionnalisation.
Bien évidemment, la professionnalisation est allée de pair avec la montée en puissance des puissants sponsors capitalistes et de la starification, ce qui va parfois si loin que les rémunérations des grands sportifs font scandale.[10]
Aujourd'hui, ce sont surtout les affaires de dopage qui font scandale. L'idée que le pouvoir de l'argent (qui a pourtant un impact majeur dans l'entraînement) doit s'arrêter au corps (« naturel ») est bien ancrée. Plus généralement, certains matériels de pointe qui donnent un avantage notable sont interdits.
1.2.5 « Affaires de mœurs »[modifier | modifier le wikicode]
On parle souvent d'affaire de mœurs pour désigner tout « scandale sexuel », en mélangeant des causes d'indignation très différentes.
Par exemple, une révélation dans la presse people d'un adultère ou même de pratiques sexuelles non conformistes (entre personnes consentantes) d'un politicien ou d'une star peut faire scandale, surtout si une morale puritaine est assez prégnante.
Le potentiel à scandale est souvent amplifié s'il y a de l'homosexualité en jeu, en raison de l'homophobie ambiante. Et pourtant, on peut noter qu'il est assez fréquent que de virulents politiciens conservateurs tenant des discours homophobes et pro famille traditionnelle, aient en secret du sexe gay[11]. Un scandale de prostitution masculine a aussi touché le Vatican en 2010.
Les « mœurs scandaleuses » sont souvent utilisées comme prétexte par des politiciens pour éliminer des personnes en les disqualifiant dans l'opinion, et ce depuis longtemps (cf. scandale des Bacchanales...).
Des cas graves, comme des actes pédocriminels, des agressions sexuelles ou des viols, ont tendance à être mises dans ce panier des « affaires de mœurs », ce qui est une façon de les minimiser, et qui révèle la culture patriarcale.
2 Lanceurs d'alertes[modifier | modifier le wikicode]
La révélation des affaires qui causent scandale nécessitent souvent que des personnes courageuses lancent l'alerte, soit parce qu'elles travaillent au sein d'une entreprise qui est à l'origine du problème, soit parce qu'elle a mené un travail d'investigation important.[V 1]
On peut citer par exemple William Binney et Edward Snowden pour la NSA, Irène Frachon pour le Mediator, Erin Brockovich pour la pollution des eaux à Hinkley, Marsha Coleman-Adebayo pour une pollution minière en Afrique du Sud par une entreprise US, Anne-Marie Casteret, Sophie Zhang, Reality Winner, Zhang Zhan, Anat Kamm, Cate Jenkins, Karen Silkwood...
Julian Assange a créé un site le fameux site WikiLeaks en 2006, permettant à des sources de rendre public des documents secrets et potentiellement scandaleux, tout en restant anonymes. Cela a notamment permis à Chelsea Manning, analyse militaire US, de publier en 2010 de nombreux documents classifiés.
Certaines juristes se sont spécialisées dans l'aide aux lanceurs d'alertes, comme Jesselyn Radack.
Des lois censées protéger les lanceurs d'alertes ont été mises en place par certains pays, parce qu'il est bon pour les politiciens de s'afficher comme étant du côté de ces causes souvent populaires dans l'opinion. Mais il s'agit en grande partie d'hypocrisie, car les lanceurs d'alertes continuent de subir de graves représailles, et les États n'aiment en général que les lanceurs d'alertes dénonçant des affaires... dans d'autres pays.
3 Notes et sources[modifier | modifier le wikicode]
Vidéos
- ↑ 1,0 et 1,1 Chaîne youtube La mal biaisée - série sur les lanceuses d'alerte
- ↑ Sylqin, Comment la CIA a espionné le monde entier : L’Affaire Crypto AG, sur Youtube, 26 nov. 2021
Articles et ouvrages
- ↑ « Nourriture contaminée, origine douteuse, faux bio, Foodwatch dénonce la fraude alimentaire et demande aux autorités d'agir », sur Franceinfo, (consulté le 1er février 2022)
- ↑ The New York Times, Bush Lets U.S. Spy on Callers Without Courts, Dec. 16, 2005
- ↑ "The FRONTLINE Interview: William Binney – United States of Secrets". Dec. 13, 2013
- ↑ Wikipédia, Révélations d'Edward Snowden (à partir de juin 2013)
- ↑ Le Nouvel Obs, Afghanistan : ce que disent les documents de WikiLeaks, 26 juillet 2010
- ↑ Philippe Steiner, Les rémunérations obscènes : Le scandale des hauts revenus en France, Éditions La Découverte, 2011
- ↑ Laurent Mauduit, La Caisse des dépôts invente un « golden parachute » d’un nouveau type, Mediapart, 3 août 2024
- ↑ Apple et la Chine : derrière l'image de marque, le scandale des conditions de travail, Le Nouvel Observateur, 2012
- ↑ Marc Gozlan, La fraude scientifique, fléau de la littérature biomédicale, Blog Le Monde, Décembre 2013
- ↑ Le Point, Les scandaleuses dérives du sport business, 19/10/2012
- ↑ Eddie Long, George Rekers... cf. Etats-Unis: Le pasteur homophobe qui aimait les garçons