Lettre à Johann Philipp Becker, 12 juin 1871

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Paragraphe introductif du Vorbote, juillet 1871 :

Nous publions ci-après une lettre reçue tardivement de notre camarade Léo Frankel, ancien délégué du travail de la Commune parisienne. Ce dernier nous a depuis rendu visite en Suisse avant de poursuivre son chemin vers l’Angleterre, venant à douter du droit d’asile soi-disant « sacré ».



Bellagio, le 12 juin 1871



Cher camarade !



Tandis que les journaux français m’affublent en agent des chemins de fer dans la rue d’Alsace et me font appréhender par les gendarmes avant de me transporter le lendemain à Versailles pour y être fusillé, je demeure sous une fausse identité sur les rives du lac de Côme, songeant aux camarades parisiens qui n’eurent pas, contrairement à moi, la chance d’échapper aux sbires prussiens et français.

Quoi que l’on dise et écrive en Allemagne, l’histoire retiendra que des soldats allemands participèrent aux basses œuvres des Versaillais. Je ne serais pas surpris qu’on leur réserve « la chance et l’honneur » de se voir « décorés », en plus de la Croix de fer, de la Légion d’honneur, laquelle leur échoit, de même droit, qu’à la soldatesque française « la patrie reconnaissante ». Le sublime Empereur, alias le Prince la mitraille, a dû voir dans le soutien militaire le plus approprié des moyens pour renouer les relations diplomatiques entre l’Allemagne et la France. Pour ce faire, son gouvernement « avisé » ne se contenta pas de renforcer l’armée de Versailles avec les troupes africaines qui avaient été capturées durant la dernière guerre […] ; il ne se contenta donc pas de livrer au gouvernement versaillais des fusils Chassepot, non, il a encore fallu que les troupes allemandes encerclant Paris reçoivent l’ordre ignominieux de ne laisser passer personne.

« Ça me fait de la peine de renvoyer des gens, souvent même des femmes seules avec enfants, me confia un soldat hessois, mais c’est ça ou quatre jours au trou ! »

Si je parvins toutefois à passer, avec quelques autres personnes, parmi lesquelles une dame dotée d’une rare intelligence qui avait dirigé le comité central des femmes et qui, comme moi, fut blessée sur les barricades, où elle prit une part active[1], je ne le dois qu’aux bonnes grâces d’un ouvrier français qui nous mena dans une maison pour nous faire passer les lignes sans encombre. Mais nous étions encore loin d’être tirés d’affaire. Des gendarmes et des agents de police français m’arrêtèrent plus d’une fois pour me demander mes papiers, d’où je venais, où j’allais, avant que je ne tournasse le dos à la frontière française, et je serais allé à ma perte – je n’avais pas le moindre laissez-passer sur moi – si je n’avais pas affecté la candeur. Songeant au paradoxe sur le comédien de Diderot, qui veut qu’un acteur jouant de sensibilité ne parvienne jamais à s’élever au-dessus de la médiocrité et que son physique se révélera d’autant plus qu’il dissimulera ce sentiment-ci ou là, j’affectais la hardiesse, le cœur en berne.

À Meaux, où Rochefort, Murat, etc., furent arrêtés, je n’en réchappai que de justesse. Un agent de police, que mes réponses ne satisfaisaient pas et qui, tel Shylock, n’avait que « billet » à la bouche, me demanda de descendre de voiture.

« Tu vas donc être pendu », me dis-je in petto tandis que je proposais mon bras, seulement pour cacher ma blessure, à ma compagne de voyage qui ne consentait pas à m’abandonner tant qu’elle ne me savait pas hors de danger. Je demandai aussitôt à l’agent d’un ton froid en apparence s’il fallait nous éloigner, craignant de manquer le train.

« Au besoin, lança ma compagne sur le même ton, nous passerons la nuit ici et repartirons demain matin.

— Ce qui ne m’arrangerait pas vraiment, ne sachant si le billet de train sera encore valable.

— Où vous rendez-vous ?, demanda l’agent.

— En Allemagne, lui répondis-je.

— Alors remontez. Mais procurez-vous un passeport la prochaine fois. »

Ainsi parvins-je à échapper aux sbires.

Arrivé à Kehl, je dus prendre congé de ma compagne de voyage et de lutte, celle-ci voulant rejoindre l’Angleterre par Hambourg, tandis que je préférai l’Italie pour recouvrer ma santé quelque peu défaillante.
Ainsi passais-je par Baden pour aller à Constance ; de là, je traversais le lac de Constance, puis pris le train jusqu’à Coire. De Coire tantôt à pied et tantôt en voiture jusqu’à Tiefencastel, par le col d’Albula à Samaden, jusqu’à ce qu’enfin j’arrive dans le froid et la pluie à Bellagio, d’où je vous écris.

Tandis que j’étais encore à Kehl, j’avais pour première intention de venir à Genève et en profiter pour faire votre connaissance. Si j’abandonnai mes plans, c’est seulement parce que je craignais ne pas avoir de perspectives ni de travail, sans quoi j’aurais privilégié sans l’ombre d’un doute la Suisse pour sa liberté politique.

Je n’ai pas à regretter ce choix, car, autant que j’ai pu le lire dans les journaux, il semblerait qu’il y ait quelque chose de pourri en l’État suisse pour ce qui est des extraditions.
Il est vraisemblable qu’il faille faire au sein de la République helvète une différence tout aussi grande entre le gouvernement et les gouvernés que dans les autres pays européens, car je crois le peuple helvète capable de faire au moins preuve d’assez de sagacité pour reconnaître qu’il n’y a pas plus simple pour le falsificateur Jules Favre que de transformer tout défenseur de la Commune parisienne en ignoble criminel et d’exiger qu’on le lui livre.

Si Tell pouvait sortir de sa tombe, il ne manquerait pas de tirer les oreilles de Messieurs les Conseillers fédéraux pour leur demander s’ils ont oublié la manière dont la Suisse s’est affranchie du joug habsbourgeois, s’ils ignorent ce qu’il s’est passé la nuit du 7 au 8 novembre 1307 sur le Grütli, et quelle différence il y a entre les hommes de la Commune et ceux qui vinrent d’Uri, de Schwitz et d’Unterwald pour former une ligue de libération, si ce n’est que ce qui échoua dans l’intérêt de la France réussit dans celui de la Suisse.

Si le Conseil fédéral de la Suisse ne sait pas lire les signes de notre temps, s’il ne reconnaît pas la tâche qui nous incombe au XIXe siècle, ce ne peut être que par faiblesse d’esprit – qu’il partage avec les autres gouvernements. S’il n’est pas donné à tout le monde de voir dans l’avenir, tout homme d’État a néanmoins le devoir de connaître ne serait-ce que l’histoire de son pays.
Quand, il y a quelques années de cela, je fis une randonnée au lac des Quatre Cantons et trouvai gravés ces mots en lettres d’or gigantesques sur une pyramide rocheuse : « Au chantre de Tell, Friedrich Schiller. Les Premiers Cantons, 1859 », ma foi, j’étais loin d’imaginer que les temps étaient proches où le gouvernement suisse livrerait tels de vulgaires criminels les hommes qui s’insurgèrent contre les baillis français.



Cette question d’extradition à l’initiative de Jules Favre me rappelle involontairement la fable d’Ésope du lion chassant en compagnie de l’âne. Ce dernier avait pour tâche d’effrayer le gibier par de puissants hi-hans afin de le livrer au lion. « T’ai-je bien rendu service ? » de demander l’âne avec quelque fierté une fois la chasse finie. « Oui, tu as très bravement crié, rétorqua le lion, et si je n’avais pas su que tu étais un âne, j’aurais moi-même pris peur. »

À considérer que Jules Favre soit un lion, alors les gouvernements continentaux, soutenus par une presse veule, lui ont rendu ce service d’âne.

L’attitude de ces gouvernements n’a certainement pas d’équivalent dans l’histoire des peuples ; jamais pareille fureur et pareille bestialité n’ont été perpétrées contre des vaincus, – comme si l’on nous avait déclarés hors la loi !

Mais que cela ne nous empêche pas de continuer à vouer notre liberté personnelle et notre vie à la cause du prolétariat. Nos ennemis auront beau s’en prendre à nous en redoublant de fureur, ils auront beau prendre plaisir à nous écharper, nous ne reculerons pas. La masse tout entière des lâches et des paresseux d’esprit qui se nourrissent de la sueur du peuple a conclu une alliance visant à étouffer les revendications du prolétariat par l’emprisonnement, la poudre et le plomb. Eh bien, les dés sont jetés. Vous voulez le combat, vous l’aurez. Votre fureur ne peut qu’endurcir notre ardeur, votre haine renforcer notre parti et j’entrevois déjà les temps où ne s’opposeront que deux partis, et où il ne pourra être question que de « rose rouge ou blanche[2] ». La lutte opposera le nouvel État libre, regorgeant de vie, reposant sur le travail et fondé sur un savoir positif, au vieil État exploiteur, vermoulu et monarco-curaillon. Le camp qui remportera la victoire ne fait aucun doute ; un puissant coup de tout le prolétariat abrégera les souffrances de votre monde.

Cette race qui ne se montre qu’en l’absence de danger et ne se risque à donner des coups de sabot d’âne que quand le lion gît à terre, cette race se terrera à l’approche de la tempête. Elle le fit en 1789, en 1830, en 1848. La tempête vient-elle à se calmer et la lutte du parti révolutionnaire a-t-elle été couronnée de victoire, il faut dès lors s’attendre à ce que cette race, incapable de s’enthousiasmer pour une idée sublime et encore moins de se battre pour elle, refasse lentement surface pour profiter de la victoire. Là, elle ne tarit pas d’éloges pour le même peuple qu’elle couvrait hier encore de boue, là on lit comme dans le National après les journées de 1830 : « Voilà le peuple qui a tout accompli depuis trois jours ; il était puissant, il était splendide ; c’est le peuple qui a vaincu, c’est à lui que reviennent tous les succès du combat » ; ou comme dans une proclamation du gouvernement provisoire de 1848, quatre jours après la révolution : « La révolution, faite par le peuple, doit être faite pour lui », le temps est venu d’imposer des limites aux longues et iniques souffrances des travailleurs, « qu’il faut aviser sans le moindre retard à garantir au peuple les fruits légitimes de son travail, etc. ».

Et l’on poursuit la rengaine jusqu’à spolier la victoire au peuple crédule. Gare alors à quiconque, une fois cette race fermement installée, ose réclamer ses droits, car elle a puisé entretemps dans toutes les provinces pour rassembler une armée à même d’écraser l’« anarchie », et l’on fait parler les canons pour répondre à la « canaille ». Chercher à justifier la Commune face à cette race revient à vouloir parler d’esthétique avec des cochons.

Les actes « barbares » dont elle nous accable, nous les soumettons sans crainte à l’incorruptible jugement de l’histoire. Elle se montrera en revanche moins clémente en constatant qu’au moment où les troupes versaillaises entrèrent dans Paris, nous n’avons pas su leur barrer la route rue après rue, renonçant à faire sauter casernes, églises et palais chaque fois que nous devions battre en retraite.
Il est seulement étrange que la bourgeoisie, par ailleurs encline à louanger la première grande révolution française, nous qualifie de vils criminels pour quelques palais réduits en ruines après huit jours de combats, alors qu’au lendemain du 14 juillet 1789, rien que dans le Mâconnais et le Beaujolais, 72 – soixante-douze ! – châteaux ont brûlé. Mais j’oublie une chose, la classe cultivée connaît aussi bien l’histoire qu’elle connaît les grands penseurs et poètes ; elle juge d’après un précis de conversation, car si la montagne du savoir est trop pentue, il est plus aisé de se procurer un Brockhaus[3].

Quand bien même la bourgeoisie connaîtrait aussi l’histoire de la Révolution de 1789 comme sa poche, elle ne pourrait s’empêcher de lui témoigner sa plus totale admiration, car c’est elle qui accéda au pouvoir. Si elle s’est montrée trop lâche pour prendre le pouvoir les armes au poing, elle ne s’enorgueillit pas moins volontiers d’en avoir obtenu les droits. Il n’y a pas de nature plus irritable, plus bestiale que la sienne quand il s’agit de les garder, pour elle seule. Combien d’historiens, de poètes et de journalistes de cette classe n’ont pas fait claquer leurs fouets face au coup d’État de 1851 parce qu’ils perdaient leurs droits, parce que furent aussi exécutés des bourgeois, parce que des bourgeois aussi furent déportés. Mais où étaient donc ces pleutres quand, durant les journées de juin, l’on assassinait le prolétariat dans les rues, quand l’on en envoyait par milliers à Cayenne et Lambessa ?! Elle oublie qu’elle se rendit complice des crimes de décembre avec les journées de Juin tout comme elle s’est rendue complice de la future monarchie française avec les journées de mai 1871.

Dans l’ensemble, la bourgeoisie préfère renoncer à sa liberté plutôt que d’accorder des droits au prolétariat.
Aussi, jamais la Commune ne trouvera de grâce à ses yeux. Elle la traînera dans la boue avec la même constance qu’elle adule l’armée allemande victorieuse. Et pourtant, veut-on parler de barbarie, jamais on en a fait autant étalage que pendant la dernière guerre franco-allemande.

Ainsi, un des leurs, le professeur Bluntschli, parle des soldats disciplinés de l’Allemagne qui firent violemment sauter les portes de maisons abandonnées pour se saisir des biens de l’ennemi. « Parfois, dit-il, même des villages ont été brûlés sans raison. »

Il est inutile de rappeler les terribles scènes dont regorgent si copieusement les guerres de la décennie écoulée menées par la France, la Prusse et l’Autriche pour montrer sous son jour véritable une guerre civilisée et constater que la Commune, à qui l’on attribue d’ignobles crimes et sur le compte de laquelle le monde « cultivé » déverse un torrent d’insultes que le dernier des prolétaires répugnerait à répéter, a agi conformément aux droits de la guerre, il suffit de donner en exemple la dernière guerre en date.

Si tant est que l’incendie de Meudon et Saint-Cloud ne soit pas un crime, que la destruction du musée de Strasbourg, de la bibliothèque, de la nouvelle église protestante et d’innombrables autres bâtiments […] n’en soient pas non plus, nous pouvons alors passer sous silence l’ignominie avec laquelle l’Allemagne a pris en otage des citoyens français qui n’avaient pas payé le dû respect au casque à pointe, tout comme la bestialité avec laquelle des francs-tireurs ont été torturés à mort, fournissant la preuve que l’Allemagne « accédant au faîte de la civilisation » surpasse de loin en horreurs guerrières les « bandits accourant de tous les pays », – finalement surpassée haut la main par la glorieuse armée de Thiers, le sauveur de la civilisation. Si l’on veut vraiment juger la Commune, il faut d’abord poser le fait que la population de Paris, qui a fait la révolution du 4 septembre, s’adossait au même droit le 18 mars 1871 ; que la révolution du 18 mars a été reconnue par la population parisienne, la majorité ayant voté en faveur de la Commune ; que la Commune fut l’expression de la population parisienne, constituant de fait un corps légal ; que la Commune de Paris n’a jamais voulu se poser en maître de la France alors que le gouvernement du 4 septembre, sans avoir lui-même officialisé sa situation à Paris par une élection, s’est autoproclamé dictateur du peuple français tout entier. S’il est désormais indiscutable que la Commune fut un corps légal, alors le gouvernement versaillais peut au mieux être considéré comme ayant mené la guerre au gouvernement parisien.

Si, de plus, l’on ne peut appliquer deux sortes de droits de la guerre aux deux parties belligérantes, alors il est incontestable que le gouvernement versaillais s’est rendu coupable en exécutant le général Duval puis en faisant assassiner par un officier chasseur quatre gardes nationaux arrêtés à Belle-Épine, ainsi qu’en commettant d’innombrables autres crimes ignobles. Face à cela, l’histoire constatera, et c’est un fait, qu’avant l’entrée des troupes ennemies dans Paris, la Commune n’a jugé personne à mort ; que la Commune soignait bien ses prisonniers et les laissait libres de circuler en ville ; que le gouvernement de Versailles refusa la proposition faite par la Commune d’échanger le citoyen Blanqui, un de ses membres, contre l’archevêque Darboy et d’autres curetons ; que l’obstination du gouvernement versaillais eut raison de toutes les tentatives de médiation et que les francs-maçons furent éconduits par les mêmes de façon si infâmante qu’ils se sentirent poussés à planter leur bannière sur les remparts de Paris pour vaincre ou mourir avec eux.

Il lui faudra en outre constater que l’incendie de Paris par la Commune est pur mensonge, et par conséquent le soi-disant document dont parlent les journaux ; mensonge aussi que les allégations d’ingérence de Londres ou Berlin dans la Commune ; mensonge que l’argent de l’Association internationale des travailleurs ait pu soutenir cette dernière ; mensonge l’affirmation selon laquelle les généraux Lecomte et Clément Thomas furent condamnés à mort par le Comité central, ils furent tout simplement lynchés, par leurs propres troupes !, auxquelles ils ordonnèrent de tirer sur le peuple ; mensonge enfin que la révolution fût mise en œuvre par des étrangers, dans la mesure où le Comité central se composait exclusivement de gardes nationaux.

Quand bien même tout ce que la réaction dit de nous serait vrai, que non seulement Paris aurait été incendié sur notre ordre, que Clément Thomas, Lecomte, l’archevêque Darboy et ses autres camarades auraient été exécutés sur nos ordres, et quand bien même nous l’aurions fait de nos propres mains, cela ne justifierait en rien les actes épouvantables et sans équivalent dans toute l’histoire d’exécutions en masse de milliers d’hommes et de femmes sans défense.

Oui, Jules Favre, tu as raison quand tu dis dans ta circulaire du 6 juin : « L’historien ne pourra le raconter sans épouvante. La plume tombera plusieurs fois de ses mains quand il faudra qu’elle retrace les hideuses et sanglantes scènes de cette lamentable tragédie », mais seulement quand il lui faudra coucher sur papier l’assassinat du général Duval, le massacre et l’abjecte déportation de milliers d’hommes et de femmes !

Je conclus cette lettre un peu longue avec la promesse de vous en envoyer prochainement une autre, dans laquelle je reviendrai sur la naissance de la Commune, après avoir considéré les événements du 4 septembre au 18 mars ; puis les actions de l’Internationale durant cette période et enfin l’objectif que poursuivaient les membres internationaux de la Commune[4].



Salutations sociales-révolutionnaires,

Votre dévoué

Léo Frankel.

  1. Il s’agit d’Élisabeth Dmitrieff.
  2. Frankel fait ici référence à l’histoire anglaise : au XVe siècle, la guerre des deux roses avait divisé le pays entre les partisans de la maison d’York (dont l’emblème était une rose blanche) et ceux de la maison de Lancastre (rose rouge).
  3. Encyclopédie allemande très connue, servant de digest.
  4. Frankel n’écrivit pas cette suite.