Lettre à Jiri Kopp, 16 février 1939

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Toujours le Visa

Cher Camarade Kopp^,

Je m’étonne que, dans vos lettres, à l’instar de Salus, vous vous « excusiez » de devoir vous adresser à moi pour une affaire de nature personnelle. Cela va tellement de soi, qu’il est inutile de s’y attarder. Nous avons fait ici tout ce qui est humainement possible, sans toutefois être parvenus jusqu’à présent à un résultat positif. Hier nous avons reçu, après une longue attente, votre télégramme collectif concernant les moyens matériels. Cela nous donne la possibilité d’intervenir à nouveau aujourd’hui, car ici on attendait précisément chez qui de droit les informations que vous nous avez transmises. Comme je l’ai écrit à Scholze, je ne peux encore rien vous dire de positif. Il vous faut donc aussi vous adresser à d’autres. Soyez assuré qu’ici nous faisons et continuerons à faire tout notre possible. Veuillez transmettre mes propos également à Salus.