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Special pages :
Lettre à Albert Sprague Coolidge, 31 mars 1938
La Bête est blessée
Cher Camarade Coolidge,
Au cours des quelques dernières semaines, mes amis américains ont pris d’importantes mesures urgentes contre des actes terroristes du G.P.U. Ils m’ont informé que vous avez généreusement versé dans ce but. Je suis un peu embarrassé que des camarades et de l’argent soient coupés du mouvement actif pour de simples mesures de police. Mais ce n’est que la conséquence des méthodes de gangsters introduites par les staliniens. Dans le mouvement ouvrier et je suis obligé de considérer ces mesures exceptionnelles comme une partie du combat nécessaire et salutaire contre le G.P.U.-Comintern.
Les révélations de l’année écoulée et surtout le travail de la commission Dewey ont produit un tournant important dans l’opinion publique mondiale, surtout aux États-Unis et même en France. La bête sauvage est blessée, mais, dans ses convulsions, elle reste plus dangereuse pour un certain temps qu’auparavant, parce qu’elle ne fait plus attention à la réaction de l’opinion publique mondiale.