Catégorie | Modèle | Formulaire |
---|---|---|
Text | Text | Text |
Author | Author | Author |
Collection | Collection | Collection |
Keywords | Keywords | Keywords |
Subpage | Subpage | Subpage |
Modèle | Formulaire |
---|---|
BrowseTexts | BrowseTexts |
BrowseAuthors | BrowseAuthors |
BrowseLetters | BrowseLetters |
Template:GalleryAuthorsPreviewSmall
Special pages :
La porte de Russie
Aller à la navigation
Aller à la recherche
Auteur·e(s) | Karl Liebknecht |
---|---|
Écriture | juin 1918 |
Source : numéro 14 du Bulletin communiste (deuxième année), 7 avril 1921, précédé de l'introduction suivante :
« Les petits articles inédits que nous publions aujourd'hui ont été écrits par Karl Liebknecht le grand communiste allemand en 1917 et 1918, pendant son emprisonnement, à une époque où il ne recevait qu'un journal quotidien, qu'on lui donnait d'ailleurs après l'avoir lu, c'est-à-dire avec une semaine de retard. Ces journaux, il ne pouvait les lire que le dimanche, le travail obligatoire ne lui laissant, les jours ouvrables, qu'un quart d'heure de loisir. »
« Les petits articles inédits que nous publions aujourd'hui ont été écrits par Karl Liebknecht le grand communiste allemand en 1917 et 1918, pendant son emprisonnement, à une époque où il ne recevait qu'un journal quotidien, qu'on lui donnait d'ailleurs après l'avoir lu, c'est-à-dire avec une semaine de retard. Ces journaux, il ne pouvait les lire que le dimanche, le travail obligatoire ne lui laissant, les jours ouvrables, qu'un quart d'heure de loisir. »
Recueil(s): Bulletin communiste
La porte de la Russie est dans les provinces baltiques. Elles doivent donc rester à la Russie, car l'habitant de la maison doit être le maître de sa porte. Le Baltenabend (Berlin, 29 mai 1918) tire pourtant une autre conclusion : la porte de la Russie étant dans les provinces baltiques, ces provinces doivent appartenir à l'Allemagne, car la Russie du Nord et de la Silésie sont économiquement nécessaires à l'Allemagne, c'est-à-dire à l'impérialisme allemand.
Le voleur veut être le maître des portes de la maison, afin qu'elles ne lui soient pas fermées au nez quand il viendra la dévaliser !