Jeanne Martin, instrument de mes ennemis

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Mme Jeanne Martin des Pallières est malheureusement tombée, comme j’avais prévenu il y a quelques mois, dans un déséquilibre mental et moral et est devenue l’instrument de mes ennemis comme de ceux de mon fils défunt Léon Sedov. Ses actes comme ses lettres le démontrent clairement. Quoiqu’elle n’ait pas le moindre droit légal sur mon petit-fils, je lui ai proposé de venir avec lui au Mexique — pour vivre dans notre maison ou au moins pour décider ensemble de l’avenir. Elle a refusé. En même temps, elle a fait une tentative de s’emparer de mes archives avec un but qui reste obscur. Les lettres de Mme Martin des Pallières comme les rapports de nos amis de Paris m’ont démontré l’impossibilité de laisser, même pour un court délai, mon petit-fils à cette personne irresponsable. J’ai saisi de la question les autorités françaises par l’intermédiaire de la Légation de France au Mexique et de mon avocat à Paris, Me Gérard Rosenthal. Les autorités compétentes ont reconnu tous mes droits sur l’enfant qui n’a maintenant d’autre parent au monde que moi. Pour la période transitoire, j’ai confié l’enfant à mes amis à Paris, ce qui fut approuvé par l’administrateur judiciaire, Me Harel. L’enfant se trouve dans les meilleurs mains, en attendant de me rejoindre. L’histoire du rapt est montée de toutes pièces par l’imagination maladive de Mme Jeanne Martin des Pallières.