Elle fut très forte sur le plan anticolonial, mais dans les pays occidentaux, elle fut étouffée, en grande partie du fait des efforts actifs des puissances dominantes à l'issue de la guerre, les [[États-Unis]] et la [[bureaucratie stalinienne]], celle-ci disposant non seulement de l'[[Armée rouge]] mais aussi de nombreux relais dans les partis communistes de tous les pays. La puissance du mouvement ouvrier fut canalisée pour obtenir des réformes sociales (certes non négligeables, comme les systèmes de [[sécurité sociale]]), que la bourgeoisie était prête à accorder pour éviter toute remise en question radicale de la [[propriété capitaliste]]. | Elle fut très forte sur le plan anticolonial, mais dans les pays occidentaux, elle fut étouffée, en grande partie du fait des efforts actifs des puissances dominantes à l'issue de la guerre, les [[États-Unis]] et la [[bureaucratie stalinienne]], celle-ci disposant non seulement de l'[[Armée rouge]] mais aussi de nombreux relais dans les partis communistes de tous les pays. La puissance du mouvement ouvrier fut canalisée pour obtenir des réformes sociales (certes non négligeables, comme les systèmes de [[sécurité sociale]]), que la bourgeoisie était prête à accorder pour éviter toute remise en question radicale de la [[propriété capitaliste]]. |