Les économistes à son service s'empressent de justifier cette attaque anti-sociale. C'est d'abord "au nom de l'emploi" que l'on flexibilise : "si on laisse les patrons plus libres de licencier, ils auront moins peur d'embaucher". A première vue, cela n'a rien d'évident, puisque la précarisation a augmenté... en même temps qu'a augmenté le chômage. On peut toutefois faire l'hypothèse que la hausse du chômage aurait été pire sans hausse de la précarité. | Les économistes à son service s'empressent de justifier cette attaque anti-sociale. C'est d'abord "au nom de l'emploi" que l'on flexibilise : "si on laisse les patrons plus libres de licencier, ils auront moins peur d'embaucher". A première vue, cela n'a rien d'évident, puisque la précarisation a augmenté... en même temps qu'a augmenté le chômage. On peut toutefois faire l'hypothèse que la hausse du chômage aurait été pire sans hausse de la précarité. |