Les grandes associations féministes qui naissent alors sont de fait des organisations bourgeoises, dont les rapports réciproques avec le mouvement ouvrier seront tendus. Les quelques militantes désireuses d’associer [[Féminisme|féminisme]] et mouvement ouvrier – [[Marie_Guillot|Marie Guillot]], [[Marie_Bonnevial|Marie Bonnevial]], [[Maria_Vérone|Maria Vérone]], [[Marianne_Rauze|Marianne Rauze]], [[Madeleine_Pelletier|Madeleine Pelletier]], [[Hélène_Brion|Hélène Brion]] ou encore [[Élisabeth_Renaud|Élisabeth Renaud]] – se retrouveront généralement isolées. | Les grandes associations féministes qui naissent alors sont de fait des organisations bourgeoises, dont les rapports réciproques avec le mouvement ouvrier seront tendus. Les quelques militantes désireuses d’associer [[Féminisme|féminisme]] et mouvement ouvrier – [[Marie_Guillot|Marie Guillot]], [[Marie_Bonnevial|Marie Bonnevial]], [[Maria_Vérone|Maria Vérone]], [[Marianne_Rauze|Marianne Rauze]], [[Madeleine_Pelletier|Madeleine Pelletier]], [[Hélène_Brion|Hélène Brion]] ou encore [[Élisabeth_Renaud|Élisabeth Renaud]] – se retrouveront généralement isolées. |