Au moment de la [[Révolution_socialiste|révolution]], la classe travailleuse héritant de l'idéologie bourgeoisie trouvera certainement normal de continuer à rémunérer en partie selon des critères « méritocratiques ». Par exemple en fonction du [[Temps_de_travail|temps de travail]] (un-e travailleur/se à mi-temps gagnerait toujours deux fois moins) ou en fonction des métiers plus en moins "qualifiés" (avec des écarts de 1 à 3 par exemple). Ce reste de méritocratie serait cette fois appliqué sans hypocrisie. Car la transformation socialiste de la société créé des conditions dans lesquelles le capital cesse d'être accumulé par des individus ou des familles, et dans lesquelles les individus peuvent réellement choisir de plus en plus facilement leur "métier" / "activité" et en changer. | Au moment de la [[Révolution_socialiste|révolution]], la classe travailleuse héritant de l'idéologie bourgeoisie trouvera certainement normal de continuer à rémunérer en partie selon des critères « méritocratiques ». Par exemple en fonction du [[Temps_de_travail|temps de travail]] (un-e travailleur/se à mi-temps gagnerait toujours deux fois moins) ou en fonction des métiers plus en moins "qualifiés" (avec des écarts de 1 à 3 par exemple). Ce reste de méritocratie serait cette fois appliqué sans hypocrisie. Car la transformation socialiste de la société créé des conditions dans lesquelles le capital cesse d'être accumulé par des individus ou des familles, et dans lesquelles les individus peuvent réellement choisir de plus en plus facilement leur "métier" / "activité" et en changer. |