Car la crise est là pour leur rappeler chaque jour que posséder sa voiture, son appartement, son réfrigérateur, sa chaîne hi-fi, voire pour les plus chanceux sa résidence secondaire, ne fait pas de vous un bourgeois et qu'un simple licenciement peut réduire tout ça à néant. On peut d'ailleurs noter que le taux de détention de valeurs mobilières (actions, obligations) est passé de 24,2% en 2004 à 16,5% en 2015. Ce chiffre suffit à anéantir le mythe de la démocratisation de l'actionnariat. | Car la crise est là pour leur rappeler chaque jour que posséder sa voiture, son appartement, son réfrigérateur, sa chaîne hi-fi, voire pour les plus chanceux sa résidence secondaire, ne fait pas de vous un bourgeois et qu'un simple licenciement peut réduire tout ça à néant. On peut d'ailleurs noter que le taux de détention de valeurs mobilières (actions, obligations) est passé de 24,2% en 2004 à 16,5% en 2015. Ce chiffre suffit à anéantir le mythe de la démocratisation de l'actionnariat. |