Dès lors, les travailleurs parisiens s'investissement pleinement dans la vie politique et cherchent à tâtons une façon d'organiser la cité dans leur intérêt. Ils se réunissent dans de nombreux clubs populaires, des Comités de vigilance, ou via les organes de la Garde nationale, et font directement entendre leurs revendications à leurs élus. Des élections complémentaires ont lieu le 16 avril, et le 28, un Comité de Salut Public est mis sur pied. De façon empirique et par souci d'efficacité, les parisiens réalisent peu à peu une auto-centralisation (fédération des clubs...). | Dès lors, les travailleurs parisiens s'investissement pleinement dans la vie politique et cherchent à tâtons une façon d'organiser la cité dans leur intérêt. Ils se réunissent dans de nombreux clubs populaires, des Comités de vigilance, ou via les organes de la Garde nationale, et font directement entendre leurs revendications à leurs élus. Des élections complémentaires ont lieu le 16 avril, et le 28, un Comité de Salut Public est mis sur pied. De façon empirique et par souci d'efficacité, les parisiens réalisent peu à peu une auto-centralisation (fédération des clubs...). |