Modifications

Dans tous les cas, même lorsque le nombre global d'emplois est stable, des salariés se retrouvent à la rue dans certains secteurs, au grès des décisions de leurs patrons (ou des concurrents de leurs patrons), retrouvant parfois un emploi équivalent ou dégradé (sous-emploi) après une période difficile, ou n'en retrouvant jamais.

Dans tous les cas, même lorsque le nombre global d'emplois est stable, des salariés se retrouvent à la rue dans certains secteurs, au grès des décisions de leurs patrons (ou des concurrents de leurs patrons), retrouvant parfois un emploi équivalent ou dégradé (sous-emploi) après une période difficile, ou n'en retrouvant jamais.

Par ailleurs, même si sur le temps long et sous l'effet des luttes ouvrières, le temps de travail moyen a diminué, il est toujours plus rentable pour un patron de continuer à faire travailler autant ses salarié·es et de licencier ceux dont il n'a plus besoin.

Par ailleurs, même si sur le temps long et sous l'effet des luttes ouvrières, le [[temps de travail]] moyen a diminué, il est toujours plus rentable pour un patron de continuer à faire travailler autant ses salarié·es et de [[Licenciement|licencier]] ceux dont il n'a plus besoin.

L'utilisation capitaliste des gains de productivité fait donc peser une précarité permanente sur les travailleur·ses, alors que dans une société [[Communisme|communiste]], il serait possible d'utiliser les gains de productivité pour obtenir pour chacun·e un emploi utile, épanouissant, avec un temps de travail très réduit.

L'utilisation capitaliste des gains de productivité fait donc peser une [[Précarité du travail|précarité]] permanente sur les travailleur·ses, alors que dans une société [[Communisme|communiste]], il serait possible d'utiliser les gains de productivité pour obtenir pour chacun·e un emploi utile, épanouissant, avec un temps de travail très réduit.

==Perspective historique==

==Perspective historique==