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[[File:EconomieCrise.png|right|EconomieCrise.png]]Le '''taux de profit''' est le rapport de la [[Plus-value|plus-value]] sur le [[Capital|capital]] investi. C'est un outil fondamental du [[Marxisme|marxisme]], notamment via la loi de la [[Baisse_tendancielle_du_taux_de_profit|baisse tendancielle du taux de profit]] qui explique l'instabilité et les [[Crises_économiques|crises]] du [[Capitalisme|capitalisme]].
 
[[File:EconomieCrise.png|right|EconomieCrise.png]]Le '''taux de profit''' est le rapport de la [[Plus-value|plus-value]] sur le [[Capital|capital]] investi. C'est un outil fondamental du [[Marxisme|marxisme]], notamment via la loi de la [[Baisse_tendancielle_du_taux_de_profit|baisse tendancielle du taux de profit]] qui explique l'instabilité et les [[Crises_économiques|crises]] du [[Capitalisme|capitalisme]].
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== Définition ==
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==Définition==
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Pour un [[Capitaliste|capitaliste]] qui a investi un [[Capital|capital]] A = c+v et réalisé une plus value pl, le taux de profit sera : TP = pl/A.
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Pour un [[Capitaliste|capitaliste]] qui a investi un [[Capital|capital]] A = c+v et réalisé une plus value pl, le taux de profit sera&nbsp;: TP = pl/A.<blockquote>où c est le [[capital constant]] (machines, matières premières...)
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et v est le [[capital variable]] ([[force de travail]])</blockquote>
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La définition du taux de profit est donc&nbsp;:
 
La définition du taux de profit est donc&nbsp;:
    
<math>TP=\frac{pl}{c+v}</math>
 
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Et sous, une autre forme, obtenue en divisant numérateur et dénominateur par v&nbsp;:
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Et sous, une autre forme, en divisant numérateur et dénominateur par v&nbsp;:
    
<math>TP=\frac{e}{co+1}</math>
 
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où e = pl/v est le [[Taux_d'exploitation|taux d'exploitation]] et co = c/v est la [[Composition_organique_du_capital|composition organique du capital]].
 
où e = pl/v est le [[Taux_d'exploitation|taux d'exploitation]] et co = c/v est la [[Composition_organique_du_capital|composition organique du capital]].
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== Intérêt de cette grandeur ==
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==Intérêt de cette grandeur==
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=== Aiguillon de l'investissement ===
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===Aiguillon de l'investissement===
    
Ce qui motive les capitalistes, c'est bien leur [[Profit|profit]]. Mais même s'il y a un ''volume'' de profit non nul dans un secteur ou une entreprise (A'-A > 0), les investisseurs gardent les yeux rivés sur le ''taux'' de profit pour décider de le pérénniser ou de plier boutique&nbsp;:
 
Ce qui motive les capitalistes, c'est bien leur [[Profit|profit]]. Mais même s'il y a un ''volume'' de profit non nul dans un secteur ou une entreprise (A'-A > 0), les investisseurs gardent les yeux rivés sur le ''taux'' de profit pour décider de le pérénniser ou de plier boutique&nbsp;:
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C'est pourquoi [[Karl_Marx|Marx]] considérait le taux de profit comme ''l'aiguillon du capitalisme''.
 
C'est pourquoi [[Karl_Marx|Marx]] considérait le taux de profit comme ''l'aiguillon du capitalisme''.
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=== Investissement et centralisation du capital ===
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===Investissement et centralisation du capital===
    
Les nouveaux marchés sont souvent explorés par de petits capitaux, qui prennent ainsi les risques les plus importants. C'est surtout pour ces petits capitaux qu'un taux de profit élevé est important, pour obtenir des financements, et accumuler suffisamment pour rembourser les dettes. Les entreprises qui connaissent un réel succès deviennent ensuite des grands capitaux ([[Centralisation_du_capital|centralisation du capital]]), soit par une croissance externe fulgurante (Microsoft), soit par rachat par des grands groupes. [[Marx|Marx]] notait dans ''[[Le_Capital|Le Capital]]''&nbsp;:
 
Les nouveaux marchés sont souvent explorés par de petits capitaux, qui prennent ainsi les risques les plus importants. C'est surtout pour ces petits capitaux qu'un taux de profit élevé est important, pour obtenir des financements, et accumuler suffisamment pour rembourser les dettes. Les entreprises qui connaissent un réel succès deviennent ensuite des grands capitaux ([[Centralisation_du_capital|centralisation du capital]]), soit par une croissance externe fulgurante (Microsoft), soit par rachat par des grands groupes. [[Marx|Marx]] notait dans ''[[Le_Capital|Le Capital]]''&nbsp;:
 
<blockquote>''«&nbsp;Le taux du profit, c’est-à-dire l’accroissement proportionnel du capital, dit Marx, est important avant tout pour tous les nouveaux placeurs de capitaux se groupant indépendamment. Et dès que la formation de capital tomberait exclusivement aux mains d’une poignée de gros capitaux tout formés, le feu vivifiant de la production s’éteindrait - entrerait en somnolence.&nbsp;»''<ref>Karl Marx, Le Capital, livre III, ch. 15</ref></blockquote>
 
<blockquote>''«&nbsp;Le taux du profit, c’est-à-dire l’accroissement proportionnel du capital, dit Marx, est important avant tout pour tous les nouveaux placeurs de capitaux se groupant indépendamment. Et dès que la formation de capital tomberait exclusivement aux mains d’une poignée de gros capitaux tout formés, le feu vivifiant de la production s’éteindrait - entrerait en somnolence.&nbsp;»''<ref>Karl Marx, Le Capital, livre III, ch. 15</ref></blockquote>
=== Stabilité et instabilité du capitalisme ===
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===Stabilité et instabilité du capitalisme===
    
Le taux de profit et son évolution permet également de comprendre la dynamique de [[Crise_économique|crise]] ou de [[Croissance|croissance]] générale du capitalisme. Lorsque le taux de profit est élevé, les crises cycliques affectent peu l'économie, lorsqu'il stagne à un niveau relativement bas, les crises sont violentes et plus longues. La loi de la [[Baisse_tendancielle_du_taux_de_profit|baisse tendancielle du taux de profit]] permet de comprendre pourquoi le capitalisme ne peut pas se stabiliser dans un état de croissance durable, et est voué à une instabilité chronique.
 
Le taux de profit et son évolution permet également de comprendre la dynamique de [[Crise_économique|crise]] ou de [[Croissance|croissance]] générale du capitalisme. Lorsque le taux de profit est élevé, les crises cycliques affectent peu l'économie, lorsqu'il stagne à un niveau relativement bas, les crises sont violentes et plus longues. La loi de la [[Baisse_tendancielle_du_taux_de_profit|baisse tendancielle du taux de profit]] permet de comprendre pourquoi le capitalisme ne peut pas se stabiliser dans un état de croissance durable, et est voué à une instabilité chronique.
<blockquote>«&nbsp;La baisse du taux du profit ralentit la formation de capitaux nouveaux et favorise la surproduction, la spéculation, les crises, la surabondance de capital et la surpopulation [chômage]&nbsp;»<ref>Marx, Le Capital, livre III, chapitre 15</ref><br/></blockquote>
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<blockquote>«&nbsp;La baisse du taux du profit ralentit la formation de capitaux nouveaux et favorise la surproduction, la spéculation, les crises, la surabondance de capital et la surpopulation [chômage]&nbsp;»<ref>Marx, Le Capital, livre III, chapitre 15</ref><br /></blockquote>
== Taux de profit moyen ==
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==Taux de profit moyen==
    
La capacité à créer du [[Surproduit_social|surproduit social]] est homogène sur l’ensemble d’une société. L’appropriation privée de ce surproduit est globalisée et ne se fait pas entreprise par entreprise, sinon il n’y aurait aucun intérêt à investir hors des sociétés de main d’oeuvre puisqu’il n’y a que la main d’oeuvre qui crée de la plus-value.
 
La capacité à créer du [[Surproduit_social|surproduit social]] est homogène sur l’ensemble d’une société. L’appropriation privée de ce surproduit est globalisée et ne se fait pas entreprise par entreprise, sinon il n’y aurait aucun intérêt à investir hors des sociétés de main d’oeuvre puisqu’il n’y a que la main d’oeuvre qui crée de la plus-value.
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En France, on considère comme très satisfaisant un résultat de 7 ou 8%. &nbsp;
 
En France, on considère comme très satisfaisant un résultat de 7 ou 8%. &nbsp;
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== Difficultés de mesures ==
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==Difficultés de mesures==
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=== Exploitation des statistiques bourgeoises ===
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===Exploitation des statistiques bourgeoises===
    
Le taux de profit est un outil critique et les capitalistes utilisent généralement d'autre grandeurs, plus neutres ou qui leur sont plus directement utiles, comme le [[Taux_de_marge|taux de marge]], le [[Taux_de_rentabilité|taux de rentabilité]], le [[Return_on_equity|ROE]]... C'est l'obstacle principal à l'établissement de chiffrages du taux de profit, qui oblige les marxistes à utiliser les données issues des comptabilités ou des statistiques capitalistes.
 
Le taux de profit est un outil critique et les capitalistes utilisent généralement d'autre grandeurs, plus neutres ou qui leur sont plus directement utiles, comme le [[Taux_de_marge|taux de marge]], le [[Taux_de_rentabilité|taux de rentabilité]], le [[Return_on_equity|ROE]]... C'est l'obstacle principal à l'établissement de chiffrages du taux de profit, qui oblige les marxistes à utiliser les données issues des comptabilités ou des statistiques capitalistes.
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=== Mensonges patronaux ===
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===Mensonges patronaux===
    
Les comptabilités nationales se basent la plupart du temps sur les déclarations au fisc des chefs d'entreprises. On imagine facilement qu'ils peuvent avoir intérêt à mentir sur les chiffres donnés.
 
Les comptabilités nationales se basent la plupart du temps sur les déclarations au fisc des chefs d'entreprises. On imagine facilement qu'ils peuvent avoir intérêt à mentir sur les chiffres donnés.
<blockquote>«&nbsp;Pour les entreprises multinationales une méthode qui est apparue au grand jour récemment consiste à concentrer la déclaration d’activités en profit dans des pays à faible fiscalité, et inversement à prétendre que les activités qui s’opèrent dans des pays à forte fiscalité sont en déficit. C’est ainsi que Total prétend que ses activités françaises (essentiellement les raffineries) sont en perte pour ne pas payer un centime d’euro en France, alors que ses bénéfices globaux sont de 8 milliards d’euros&nbsp;! Dans le même ordre d’idées, il est évidemment fallacieux de prétendre que les salaires des dirigeants des grandes entreprises constituent uniquement le coût de leur force de travail, alors qu’ils en décident eux-mêmes le montant , et gagnent en moyenne 190 fois le smic. Pourtant c’est bien dans la partie «&nbsp;salaires&nbsp;» et non «&nbsp;bénéfices&nbsp;» que vont ces sommes dans la comptabilité des entreprises.&nbsp;» <ref>[http://quefaire.lautre.net/que-faire/que-faire-no06-fevrier-avril-2011/article/le-taux-de-profit-aujourd-hui Le taux de profit aujourd'hui], [[Que faire ? (revue)|Revue Que faire ?]], Février-avril 2011</ref><br/></blockquote>
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<blockquote>«&nbsp;Pour les entreprises multinationales une méthode qui est apparue au grand jour récemment consiste à concentrer la déclaration d’activités en profit dans des pays à faible fiscalité, et inversement à prétendre que les activités qui s’opèrent dans des pays à forte fiscalité sont en déficit. C’est ainsi que Total prétend que ses activités françaises (essentiellement les raffineries) sont en perte pour ne pas payer un centime d’euro en France, alors que ses bénéfices globaux sont de 8 milliards d’euros&nbsp;! Dans le même ordre d’idées, il est évidemment fallacieux de prétendre que les salaires des dirigeants des grandes entreprises constituent uniquement le coût de leur force de travail, alors qu’ils en décident eux-mêmes le montant , et gagnent en moyenne 190 fois le smic. Pourtant c’est bien dans la partie «&nbsp;salaires&nbsp;» et non «&nbsp;bénéfices&nbsp;» que vont ces sommes dans la comptabilité des entreprises.&nbsp;» <ref>[http://quefaire.lautre.net/que-faire/que-faire-no06-fevrier-avril-2011/article/le-taux-de-profit-aujourd-hui Le taux de profit aujourd'hui], [[Que faire ? (revue)|Revue Que faire ?]], Février-avril 2011</ref><br /></blockquote>
=== Distorsion par l'inflation ===
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===Distorsion par l'inflation===
    
Une importante distorsion peut être causée par l'[[Inflation|inflation]]. En effet, la rentabilité peut être grossie par l’augmentation apparente de la valeur des marchandises produites.
 
Une importante distorsion peut être causée par l'[[Inflation|inflation]]. En effet, la rentabilité peut être grossie par l’augmentation apparente de la valeur des marchandises produites.
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=== Distorsion par les gains de productivité ===
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===Distorsion par les gains de productivité===
    
Lorsque les entreprises calculent leur taux de profit, elles divisent leur profit sur un certain nombre d’années par l’investissement qu’elles ont réalisé au cours de ces années. Mais cette comptabilité est complexe et les données "nationales", qui sont le plus souvent utilisées en macro-économie, rapportent le profit au coût actuel, et non pas au coût historique. Ainsi, si des gains de [[Productivité_du_travail|productivité]] ont depuis réduit la valeur des moyens de production, le taux de profit calculé surestimera le taux de profit réel.
 
Lorsque les entreprises calculent leur taux de profit, elles divisent leur profit sur un certain nombre d’années par l’investissement qu’elles ont réalisé au cours de ces années. Mais cette comptabilité est complexe et les données "nationales", qui sont le plus souvent utilisées en macro-économie, rapportent le profit au coût actuel, et non pas au coût historique. Ainsi, si des gains de [[Productivité_du_travail|productivité]] ont depuis réduit la valeur des moyens de production, le taux de profit calculé surestimera le taux de profit réel.
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=== Distorsion par les profits fictifs ===
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===Distorsion par les profits fictifs===
    
Enfin un élément qui a pris beaucoup d'importance ces dernières années est l'augmentation rapide de "profits fictifs" dus au secteur financier. Certains auteurs comme [[Robert_Brenner|Robert Brenner]] se restreignent donc aux entreprises non financières pour éviter ce problème, mais même ces sociétés ont bénéficié d'une appréciation croissante de leurs actifs, qu'il est difficile d'évaluer.
 
Enfin un élément qui a pris beaucoup d'importance ces dernières années est l'augmentation rapide de "profits fictifs" dus au secteur financier. Certains auteurs comme [[Robert_Brenner|Robert Brenner]] se restreignent donc aux entreprises non financières pour éviter ce problème, mais même ces sociétés ont bénéficié d'une appréciation croissante de leurs actifs, qu'il est difficile d'évaluer.
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Voir aussi l'approche de [[Alan_Freeman|Alan Freeman]] : https://thenextrecession.files.wordpress.com/2013/02/freeman13.pdf
 
Voir aussi l'approche de [[Alan_Freeman|Alan Freeman]] : https://thenextrecession.files.wordpress.com/2013/02/freeman13.pdf
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=== Problème du capital circulant ===
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===Problème du capital circulant===
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Voir cet article&nbsp;: [http://marx2010.weebly.com/uploads/5/4/4/8/5448228/second_submission.docx http://marx2010.weebly.com/uploads/5/4/4/8/5448228/second_submission.docx]
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Voir cet article&nbsp;: http://marx2010.weebly.com/uploads/5/4/4/8/5448228/second_submission.docx
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== Le taux de profit depuis 60 ans ==
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==Le taux de profit depuis 60 ans==
    
Globalement, les économistes marxistes retrouvent une évolution du taux de profit assez similaire pour l'immédiat Après-guerre&nbsp;:
 
Globalement, les économistes marxistes retrouvent une évolution du taux de profit assez similaire pour l'immédiat Après-guerre&nbsp;:
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[[File:TauxDeProfitKliman.jpg|center|TauxDeProfitKliman.jpg]]
 
[[File:TauxDeProfitKliman.jpg|center|TauxDeProfitKliman.jpg]]
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== Taux de profit mondial ==
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==Taux de profit mondial==
    
Un taux de profit est en général mesuré pour un pays donné à partir de ses statistiques nationales. Toutefois, la question se pose de savoir si l'on peut mesurer un "taux de profit mondial", et si c'est pertinent. Cela dépend fondamentalement de la liberté de circulation des capitaux. Si elle était totale, il y aurait un vrai marché mondial et un taux de profit mondial clairement défini. Mais c'est un cas purement théorique, car le capitalisme est incapable de dépasser les Etats-nations. Cela dit, la vague de mondialisation qui a eu lieu depuis les années 1980 est la plus profonde jamais réalisée, donc elle rend possible d'estimer un taux de profit mondial.
 
Un taux de profit est en général mesuré pour un pays donné à partir de ses statistiques nationales. Toutefois, la question se pose de savoir si l'on peut mesurer un "taux de profit mondial", et si c'est pertinent. Cela dépend fondamentalement de la liberté de circulation des capitaux. Si elle était totale, il y aurait un vrai marché mondial et un taux de profit mondial clairement défini. Mais c'est un cas purement théorique, car le capitalisme est incapable de dépasser les Etats-nations. Cela dit, la vague de mondialisation qui a eu lieu depuis les années 1980 est la plus profonde jamais réalisée, donc elle rend possible d'estimer un taux de profit mondial.
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[[File:TauxProfitMondial-1869-2009.png|center|TauxProfitMondial-1869-2009.png]]
 
[[File:TauxProfitMondial-1869-2009.png|center|TauxProfitMondial-1869-2009.png]]
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== Notes et sources ==
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==Notes et sources==
    
Marcel Roelandts, [http://www.capitalisme-et-crise.info/telechargements/pdf/FR_MR_Le_cadre_methodologique_de_la_theorie_des_crises_chez_Marx_et_sa_validation_empirique_3.pdf Le cadre méthodologique de la théorie des crises chez Marx et sa validation empirique], Juillet 2009
 
Marcel Roelandts, [http://www.capitalisme-et-crise.info/telechargements/pdf/FR_MR_Le_cadre_methodologique_de_la_theorie_des_crises_chez_Marx_et_sa_validation_empirique_3.pdf Le cadre méthodologique de la théorie des crises chez Marx et sa validation empirique], Juillet 2009
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<references />
 
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[[Category:Théorie]] [[Category:Capitalisme]] [[Category:Économie]]
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[[Category:Économie]]

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