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Special pages :
Existe-t-il une époque du capital financier ? A propos des nouvelles tendances dans le développement du capitalisme
Auteur·e(s) | Avetis Sultanzade |
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Écriture | juillet 1928 |
Texte qui a donné lieu à un débat avec Boukharine lors du VIe congrès de l'Internationale communiste
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Le programme de l'internationale Communiste doit exposer la quintessence de la théorie économique contemporaine, en ce sens que tout ce qui est en mesure de susciter le moindre doute doit être soigneusement écarté de ce programme. Le projet de programme définit l’époque actuelle comme une époque du capital financier, comme le fait Hilferding dans Le capital financier. [...]
Les auteurs du projet reprennent pour ainsi dire à la lettre le point de vue soutenu par Hilferding [...] et utilisent ses données théoriques.
Bien que depuis longtemps dépassée par la réalité, la théorie d’Hilferding est l’une des théories les plus populaires et les plus répandues dans les milieux marxistes, surtout en URSS, [...]
On appelle capital financier le capital argent ou plus exactement le capital bancaire transformé en capital industriel. Le capital financier a placé sous son contrôle les principaux secteurs de la production. Si le prolétariat établit son règne sur le capital financier il occupe ainsi les positions les plus importantes. La propriété des six plus grandes banques de Berlin équivaut à la propriété des secteurs vitaux de l’industrie. Hilferding affirme plusieurs fois dans son ouvrage que le développement du capitalisme fait croître la dépendance des industries envers les banques, car les banques, en mobilisant l’argent des classes non productives, peuvent disposer à la longue d’une partie de cet argent qui croît constamment. Tant que cette masse d’argent n'était pas de très grande dimension, les banques purent atteindre leur but en l’employant pour financer la spéculation et les crédits de paiement. En tenant compte du fait que la masse de cet argent augmentait constamment et en tenant compte d’autre part de la diminution de l’importance de la spéculation et du commerce l’on se trouva dans l’obligation de transformer une partie toujours plus croissante de cet argent en capital industriel. [...] Hilferding estime que la nouvelle phase du capitalisme a conduit à une dépendance toujours plus grande de l’industrie par rapport aux banques, et qu’elle a conduit à la prédominance du capital financier après que celui-ci se soit constitué dans la période de forte concentration du capital industriel, c’est-à-dire dans la période des entreprises monopolistes : trusts, cartels, syndicats, etc.
Mais est-ce que tout cela est juste ?
LE CREDIT ET SON IMPORTANCE DANS L’ECONOMIE CAPITALISTE
Tout d’abord, il faut expliquer l’origine de la nécessité du crédit et par là même l’existence des banques dans la période du capitalisme.
Dans une société dont les fondements sont la propriété privée et la division du travail, les rapports sociaux et les processus de reproduction sociale ne s’effectuent que grâce à la transformation de produits en marchandises et par leurs échanges. Du fait de cet échange se créent des rapports de crédits, qui sont à considérer comme la phase suivante de développement et qui ont la même origine que l’échange, c’est-à-dire qui ont vu le jour du fait de la spécificité des rapports de production de la société concernée. Mais le crédit ne coïncide pas avec l’échange : Le crédit de marchandises est une forme modifiée de l’échange, et le crédit de capitaux (crédit de banque ou crédit d’usure) est la transformation de l’échange en prêt. La nécessité du crédit n’est pas seulement conditionnée par le type de structure de production. C’est la plus importante mais non la seule raison. Parallèlement, d’autres facteurs agissent, ceux-ci sont concrètement de nature économique, ils ne sont pas toujours constants mais changent par rapport à la forme et au type de crédit, se développent en fonction de «conditions élémentaires» [...]
Avec le développement du commerce et du système de production capitaliste qui ne se réfère qu’au chiffre d’affaires, ce fondement matériel du crédit s’élargit, se consolide et gagne une signification générale. Dans l’ensemble l’argent ne joue ici que le rôle de moyen de paiement, c’est-à-dire que la marchandise n’est pas vendue contre de l’argent comptant, mais en échange de la promesse écrite du paiement à une date donnée, c’est-à-dire contre une traite.
Où réside donc la différence entre un crédit de commerce et un crédit de capitaux ? Cette différence est déterminée par la différence entre le capital industriel et le capital porteur d’intérêts. Evidemment, dans une société capitaliste c’est le même capital qui se trouve entre les mains d’un capitaliste. En réalité il effectue comme Marx le constate un mouvement double et tout à fait différent.
Mais traitons d’abord des propriétés du capital industriel. Sa première propriété réside dans le fait qu’il agit en tant que capital seulement dans le processus de production, c’est-à-dire dans le procès d’exploitation de la force de travail et produisant une plus-value. Ce capital est en contradiction directe avec le travail et le capitaliste, incarnation du capital, est en contradiction avec le travailleur. Deuxièmement, c’est un capital qui doit changer sa forme dans les mains de son propriétaire qui n’existe pour ce propriétaire que sous la forme de capital marchandise simple, c’est-à-dire d’un capital qui nécessite une retransformation ou, du moins et en premier lieu, doit se transformer en argent. Cette métamorphose de la marchandise a lieu dans le cas cité avec l’aide du crédit. C’est-à-dire que le capital ne figure dans le processus de transaction non en tant que capital mais en tant que marchandise ou comme argent (métamorphose de la marchandise).
Le capital industriel est incarné par le capitaliste industriel et le capital porteur d’intérêts incarné dans le type particulier de capitaliste que sont les capitalistes d’argent (financiers). Ils se partagent maintenant entre eux la plus-value obtenue. Le premier bénéficiera du profit industriel (ou profit commercial), le second des intérêts. Du fait que les mouvements du capital industriel sont différents de ceux du capital financier porteur d’intérêts, le profit industriel et les intérêts représentent non seulement une répartition quantitative mais aussi une répartition qualitative de la plus-value : dans le premier s’exprime et se reproduit le capitaliste industriel, dans le second le capitaliste financier. Cette division qualitative provient « d’une division purement quantitative de la même partie de la plus-value» (Marx). Le propriétaire de capitaux touche les intérêts et le chef d’entreprise capitaliste le profit du chef d’entreprise.
Il s’ensuit que si l’on voulait séparer le capital industriel du processus de production il s’arrêterait d’être capital alors que pour le capital porteur d’intérêts l’utilisation faite du crédit est sans importance.
Cela explique qu’à l’époque où le capital industriel en était à ses premiers pas, le capital porteur d’intérêt avait déjà la réputation d’être un gros mangeur non seulement du surtravail, mais aussi du travail nécessaire connu. [...]
De cette manière c’est toujours le capital qui apparaît en tant que donneur de crédit, [...]
Mais en considérant la position économique du preneur de crédit celui-ci apparaît tantôt dans le rôle de l’usurier, et tantôt dans celui du banquier qui joue le caissier des capitalistes industriels, [...]
Tant que le processus de production fonctionne normalement, et que le reflux du capital est de ce fait assuré, le crédit est stable et augmente. Cette augmentation repose sur l’augmentation du processus de reproduction lui-même. A partir du moment où, du fait de la baisse des prix ou de saturation du marché, le reflux des capitaux ralentit, un surplus de capitaux industriels s'accumule sous une forme où ces capitaux ne peuvent plus assurer leur fonction. Une grande quantité de capital commercial est disponible mais ne peut trouver d’acheteur. Une grande partie du capital de base est disponible, mais, étant donné la stagnation du processus de reproduction il n’est pas utilisé.
Le crédit se trouve réduit : 1) Du fait que ce capital est inutilisé, c’est-à-dire du fait qu’il reste bloqué au niveau du processus de reproduction, car il ne peut pas accomplir sa métamorphose. 2) Du fait que la confiance dans le déroulement ininterrompu du processus de reproduction est ébranlée. 3) Du fait que la demande pour le crédit commercial devient plus petite. [...]
Le crédit, catégorie immanente de la méthode de production capitaliste, conditionne (dans les limites que nous venons de décrire) non seulement la continuité de la reproduction sociale mais il constitue la condition nécessaire à la réalisation du cycle du capital de l’ensemble de la société, de même que de chacune de ces parties. Sous le système des rapports de crédit la reproduction à l’intérieur de la société capitaliste serait tout simplement impossible, c’est-à-dire en d’autres termes, la possibilité de la circulation du capital social, et en conséquence l'existence d’un système de production capitaliste s’appuyant sur une base matérielle techniquement hautement développée ne pourrait être envisagée.
LES BANQUES, LEURS ACTIVITES ET LEURS NOUVELLES FONCTIONS
Le crédit est donc indispensable dans une société capitaliste. Il fait partie des moyens essentiels de production. De ce fait, il est naturel que le développement de l’économie capitaliste ait été accompagné du développement des organismes de crédit. [...]
Hilferding a tout à fait raison de remarquer le rôle nouveau des banques par rapport à l’apparition de la forme société par actions dans l’organisation des entreprises industrielles. Cette situation a d’abord intensifié les mouvements de concentration et par ailleurs du fait de leur relation au marché monétaire les banques furent en mesure de soutenir les capitalistes industriels. Ces derniers eurent besoin d’un soutien financier, c’est-à-dire un apport sensible de capitaux extérieurs dans trois cas :
1) Lors de la création de nouvelles entreprises ;
2) Lors de l’extension de la production d’entreprises déjà existantes ;
3) Au cours de différentes associations, réunions, fusions.
Pour ces raisons, lors de la création d’entreprises nouvelles, les actions sont confiées aux banques afin de les répartir. Du fait que les actions, c’est-à-dire un capital fictif, sont réparties par l’intermédiaire des banques et transformées en capital fonctionnant véritablement, le financement est assuré par les banques. [...]
L’aide réciproque entre les banques et l’industrie [...], [n’] amène [pas] à une domination des banques sur l’industrie, Les banques jouent dans leur rapport avec l’industrie un rôle d’appoint toujours subordonné. L’initiative reste entre les mains des industriels. La domination apparente des banques sur l’industrie dans le système économique contemporain s’explique du fait que l’industrie elle-même se donne une fonction toujours plus purement financière. [...]
LES BANQUES ET L’INDUSTRIE, QUI DEPEND DE L’AUTRE ?
Nous savons que le crédit comme l’échange est un des leviers essentiels du processus de production, qu’il est sous sa forme contemporaine tout à fait le produit de l’époque capitaliste, et que les banques dans leurs actions sont obligées de s’orienter au principe de la liquidité de leur bilan, que celles d’entre elles qui négligent ce principe et se sont lancées imprudemment dans des crédits à long terme se ruinent elles-mêmes ainsi que des douzaines d’autres organismes.
La transformation qui va en augmentant du capital crédit au capital de fonds industriels est, comme nous venons de le constater, liée pour la banque à de gros risques et n’est pas tout aussi simple qu’Hilferding le pense. Il faut remarquer qu’Hilferding dont la théorie se fonde sur la transformation du capital bancaire en capital industriel ne se donne même pas la peine de calculer jusqu’à quelles limites les banques peuvent investir les fonds qui leur sont confiés en capital de base pour l’industrie. Cette possibilité pour les banques n’est pas si élevée. [...]
Mais Hilferding pense que la plus grande partie du capital de crédits revient constamment à la banque, bien que son niveau change constamment. C’est justement ce minimum constant dont dispose la banque qu’elle peut utiliser pour l’investir en capital industriel.
J’estime que cette partie n’est pas si importante pour parler d’une dépendance croissante de l’industrie des banques. Les banques peuvent évidemment disposer pour ce faire d’une partie de leur capital de base, mais dans ce cas avant de parler de cette tendance dans le développement du capitalisme il faut premièrement démontrer que la croissance du capital de base des banques est plus rapide que la croissance du capital industriel, et deuxièmement que la concentration dans les affaires bancaires dépasse les concentrations dans l’industrie. Il est évidemment impossible de démontrer l’un ou l’autre. La formation, ces dernières années, d’associations industrielles géantes avec des capitaux se chiffrant en milliards dépasse toute spéculation.
De toute manière tous ceux qui sont familiers du travail des grandes banques savent que la fusion du capital bancaire avec le capital industriel, c’est-à-dire un investissement à long terme du passif de la banque dans l’industrie est une affaire qui n’est pas si facile à réaliser que le pense Hilferding, en particulier si l’on se souvient des catastrophes qui se sont déroulées dans ces conditions. […]
Voici un exemple de la manière dont nos camarades acceptent les théories de Hilferding sans esprit critique : je m’adressais une fois au camarade Varga, l’un des meilleurs connaisseurs de la situation économique allemande en le priant de m’indiquer l’une ou l’autre source où l’on serait susceptible de trouver des éléments concrets sur la participation des banques à l’une ou l’autre entreprise monopoliste. Le camarade Varga me dit que de telles sources lui sont inconnues mais que chacun en Allemagne est au courant de ce type de participations. Je me dois d’avouer que bien que m’étant trouvé plusieurs fois en Allemagne n’avoir rien pu entendre de concret dans ce domaine.
Si les banques allemandes se trouvaient réellement en possession d’une partie aussi importante d’actions industrielles, elles n’auraient pas perdu pendant l’inflation près de la moitié de leur capital de base, les actions industrielles se trouvant, elles, bien placées, pendant toute cette période.
Il est encore moins compréhensible d’entendre parler de domination des banques sur l’industrie à une époque des gigantesques organisations monopolistes.
[Après avoir décrit de grands trusts industriels allemands et précisé qu'on ne pouvait parler dans ce cas d’une domination du capital financier, Sultan-Zadé poursuit :] on peut affirmer avec certitude que chacun de ces trusts est à chaque instant en mesure de créer, non une mais plusieurs banques, de l’importance de la « Deutsche Bank ». En réalité cela se passe d’ailleurs ainsi. Les capitaux de la banque créée par AEG ne sont pas moins importants que ceux d’une quelconque grande banque berlinoise.
Ces nouvelles structures d’organisations ne sont pas créées sous la direction des banques, au contraire, elles sont créées par l’industrie afin que les banques deviennent une source de crédit bon marché et se transforment en caissier d’un capital producteur.
LA TENDANCE DE DEVELOPPEMENT DU CAPITALISME, MARX OU HILFERDING ?
Nous avons déjà évoqué, au début de cet article, que les auteurs du projet de programme du Komintern définissent notre époque comme époque du capital financier : Nous avons déjà démontré avec l’exemple du trust de l’acier que les moyens, non d'une banque seule, mais de plusieurs banques ensembles, seraient insuffisants à soutenir efficacement un grand trust, d’ailleurs les principes des affaires bancaires interdisent qu’une banque investisse ses capitaux dans une seule entreprise. [...]
Nous nous en sommes assurés : les faits parlent contre cette définition, de par l’énorme progrès des concentrations de capital industriel qui rendent impossible la domination du capital financier.
Il serait ridicule de parler de la dépendance du trust de l’acier américain par rapport aux banques si l’on considère qu’à une certaine époque le compte du trust dans les banques atteignait la somme de 500 millions de dollars, c’est-à-dire davantage que tout le passif de bien des grandes banques berlinoises. Il est ridicule de parler de la dépendance toujours plus grande de l’industrie par rapport aux banques si 20 entreprises industrielles en Amérique ont apporté 676 millions de bénéfice à leurs actionnaires. La « General Motors », à elle seule, a obtenu 222 millions de dollars, une somme qui est à peu près le double des capitaux de la plus grande banque newyorkaise.
Si l’on veut parler d’une époque du capital financier, c’est-à- dire d’une domination du capital bancaire sur le capital industriel, pourquoi alors ne pas parier d’une domination du capital commercial sur l’industrie. Il fut un temps où l’industriel était fortement dépendant du grossiste qui distribuait ses marchandises par le moyen d’un réseau d’échanges. Nous savons cependant que la concentration du capital industriel en direction verticale et horizontale a conduit à la création de grandes organisations de vente — syndicats — qui ont permis à l’industrie de se libérer du pouvoir des grossistes. Aujourd’hui, les syndicats eux-mêmes traitent avec les grossistes, mais aussi avec les revendeurs, cette tâche leur est d’ailleurs facilitée du fait du développement des grands magasins. De la même manière que les grandes industries réunies en trust se sont libérées du pouvoir des intermédiaires commerciaux, créant leur propre circuit de distribution, il était historiquement inévitable que ces géants se libèrent du pouvoir des intermédiaires de l’argent : les banques.
Les nouvelles tendances dans le développement du capitalisme n’entraînent donc d’aucune manière la dépendance de l’industrie par rapport aux banques (dans la mesure où cette dépendance a jamais existé). Au contraire, elles libèrent la grande industrie des intermédiaires de commerce ou d’argent. [...]
A l’époque où Hilferding travaillait à sa théorie sur la domination du capital financier, Kardorff, industriel très connu, déclarait, prenant la parole au cours d’une réunion du Verein für Sozialpolitik, en 1905, que «les banques n’ont jamais été si impuissantes en face de nous qu’aujourd’hui ».
Trois ans plus tard, en l’occurrence en 1908, l’on pouvait lire dans le rapport annuel de la Dresdner Bank, l’une des plus importantes banques d’Allemagne, « le mouvement de concentration et le système des cartels dans l’industrie, particulièrement dans l’industrie dite lourde, a incontestablement rendu l’industrie plus indépendante par rapport aux banques».
Comment peut-on parler d’une dépendance de l’industrie par les banques si justement le rapport d’une grande banque signale un mouvement de concentration qui rend l’industrie plus indépendante par rapport aux banques ? Si, en 1908, l’on pouvait parler d’un mouvement de concentration, ce mouvement a décuplé après la guerre. On entend souvent dire qu’à l’époque de Marx les banques étaient trop faibles et que de ce fait Marx ne pouvait prévoir leur rôle futur, ou bien l’on dit aussi que Marx n’a pu terminer le troisième livre du Capital et de ce fait n’a pu énoncer la loi de développement des banques. Tout cela est sans fondement aucun.
Si Marx, à partir de l’exemple anglais, a pu prévoir de manière géniale le développement du capitalisme, en particulier l’inévitabilité des concentrations et centralisations, il aurait pu de la même manière prévoir la domination future des banques. Mais là-dessus, il n'y a pas un seul mot dans les œuvres de Marx.
C’est la théorie de Marx, et non celle de Hilferding, qui nous montre la direction du développement capitaliste de manière juste.
Il n'y a donc pas d’époque du capital financier. L’époque de l’impérialisme c’est l’époque du règne de la technique des machines, l’époque du capitalisme le plus développé. De ce fait nous estimons que dans le projet de programme du Komintern il n'y aurait pas dû y avoir de place pour des théories douteuses.