Les occupations militaires entre puissances impérialistes créent des situations a priori différentes. Entre 1871 et 1918, Lénine et la social-démocratie n’hésitaient pas à lutter contre l’occupation allemande de l’Alsace-Lorraine. Par la suite, les communistes ont dénoncé le [[Traité_de_Versailles|traité de Versailles]] puis l’occupation de la Ruhr par la France (1923-1925), mais avec beaucoup plus de tensions : si la majorité mettait en avant la fraternisation avec les soldats et la lutte simultanée contre la bourgeoisie allemande, d’autres comme [[Karl_Radek|Karl Radek]] ont comparé l’Allemagne à une nation opprimée. | Les occupations militaires entre puissances impérialistes créent des situations a priori différentes. Entre 1871 et 1918, Lénine et la social-démocratie n’hésitaient pas à lutter contre l’occupation allemande de l’Alsace-Lorraine. Par la suite, les communistes ont dénoncé le [[Traité_de_Versailles|traité de Versailles]] puis l’occupation de la Ruhr par la France (1923-1925), mais avec beaucoup plus de tensions : si la majorité mettait en avant la fraternisation avec les soldats et la lutte simultanée contre la bourgeoisie allemande, d’autres comme [[Karl_Radek|Karl Radek]] ont comparé l’Allemagne à une nation opprimée. |