À terme, selon le centre de recherche économique CEE Council, le retour à l’orthodoxie financière prôné par le gouvernement allemand et la BCE et la ''politique de rigueur'' généralisée qui en découle nécessiteront une révision du [[Traité de Lisbonne|traité de Lisbonne]], car ils pourraient avoir pour conséquence de réduire les prérogatives budgétaires et fiscales des États-membres au-delà des dispositions du traité dans sa forme actuelle.<ref>Nicolas Firzli, « Greece and the EU Debt Crisis », The Vienna Review de mars 2010</ref> | À terme, selon le centre de recherche économique CEE Council, le retour à l’orthodoxie financière prôné par le gouvernement allemand et la BCE et la ''politique de rigueur'' généralisée qui en découle nécessiteront une révision du [[Traité de Lisbonne|traité de Lisbonne]], car ils pourraient avoir pour conséquence de réduire les prérogatives budgétaires et fiscales des États-membres au-delà des dispositions du traité dans sa forme actuelle.<ref>Nicolas Firzli, « Greece and the EU Debt Crisis », The Vienna Review de mars 2010</ref> |