Les espèces domestiques ont été disséminées sur toute la planète, et les rencontres de pathogènes ont été favorisées, notamment par la déforestation. Les risques de franchissement des barrières d'espèces par les souches virales et bactériennes se sont accrus et de nombreuses nouvelles maladies sont certainement apparues de la sorte. La possibilité d'échanges génétiques entre pathogènes exotiques et locaux peut également aboutir à de nouveaux pathogènes plus virulents. Les recherches ont ainsi établi de fortes corrélations entre la révolution néolithique et l'avènement de nouveaux virus et bactéries (grippe, rougeole, tuberculose...). | Les espèces domestiques ont été disséminées sur toute la planète, et les rencontres de pathogènes ont été favorisées, notamment par la déforestation. Les risques de franchissement des barrières d'espèces par les souches virales et bactériennes se sont accrus et de nombreuses nouvelles maladies sont certainement apparues de la sorte. La possibilité d'échanges génétiques entre pathogènes exotiques et locaux peut également aboutir à de nouveaux pathogènes plus virulents. Les recherches ont ainsi établi de fortes corrélations entre la révolution néolithique et l'avènement de nouveaux virus et bactéries (grippe, rougeole, tuberculose...). |