Le Congrès de Stuttgart ouvre ses débats sur la question de la guerre et sur les moyens de s’y opposer. Face à la proposition des délégués français (sauf [[Guesde|Guesde]]), qui prévoit la [[Grève_générale|grève générale]] en cas de guerre, les Allemands, conduits par [[Bebel|Bebel]] et [[Vollmar|Vollmar]] la rejettent. Bebel se refuse à envisager tout plan d’action précis. Il estime que la grève générale en Allemagne détruirait toutes les organisations. Finalement sur proposition de [[Rosa_Luxemburg|Rosa Luxemburg]] et de [[Lénine|Lénine]], entre autre, l’amendement suivant est adopté, avec les voix du centre : | Le Congrès de Stuttgart ouvre ses débats sur la question de la guerre et sur les moyens de s’y opposer. Face à la proposition des délégués français (sauf [[Guesde|Guesde]]), qui prévoit la [[Grève_générale|grève générale]] en cas de guerre, les Allemands, conduits par [[Bebel|Bebel]] et [[Vollmar|Vollmar]] la rejettent. Bebel se refuse à envisager tout plan d’action précis. Il estime que la grève générale en Allemagne détruirait toutes les organisations. Finalement sur proposition de [[Rosa_Luxemburg|Rosa Luxemburg]] et de [[Lénine|Lénine]], entre autre, l’amendement suivant est adopté, avec les voix du centre : |