| Marx était à cette époque un réfugié politique allemand inconnu à Londres, pas impliqué dans la politique britannique, même s'il se tenait au courant, notamment du mouvement [[Chartiste|chartiste]]. Ses principaux contacts étaient avec d'autres réfugiés, français, allemands... Jusqu'à environ une semaine avant la réunion du 28 septembre, il ne savait apparemment rien à propos des préparatifs du congrès ouvrier international. Il a été mis au courant par [[Victor_Le_Lubez|Victor Le Lubez]], un républicain radical français, qui l'invite à représenter les travailleurs allemands. Marx accepte et propose d'inviter aussi [[Johann_Georg_Eccarius|Johann Georg Eccarius]], un tailleur allemand vivant à Londres. Marx et Eccarius allaient s'avérer être les deux piliers de l'Internationale depuis sa création jusqu'à sa fin. Marx sera présent quasiment à toutes les sessions du Conseil général. | | Marx était à cette époque un réfugié politique allemand inconnu à Londres, pas impliqué dans la politique britannique, même s'il se tenait au courant, notamment du mouvement [[Chartiste|chartiste]]. Ses principaux contacts étaient avec d'autres réfugiés, français, allemands... Jusqu'à environ une semaine avant la réunion du 28 septembre, il ne savait apparemment rien à propos des préparatifs du congrès ouvrier international. Il a été mis au courant par [[Victor_Le_Lubez|Victor Le Lubez]], un républicain radical français, qui l'invite à représenter les travailleurs allemands. Marx accepte et propose d'inviter aussi [[Johann_Georg_Eccarius|Johann Georg Eccarius]], un tailleur allemand vivant à Londres. Marx et Eccarius allaient s'avérer être les deux piliers de l'Internationale depuis sa création jusqu'à sa fin. Marx sera présent quasiment à toutes les sessions du Conseil général. |
| Face aux autres conceptions qui pouvaient être foncièrement différentes de la sienne, comme celle des mutuellistes, Marx n'a pas cherché à faire passer ses idées coûte que coûte dans l'Internationale : | | Face aux autres conceptions qui pouvaient être foncièrement différentes de la sienne, comme celle des mutuellistes, Marx n'a pas cherché à faire passer ses idées coûte que coûte dans l'Internationale : |