L’action de l’homme sur l’effet de serre s’effectue par le rejet de gaz à effets de serre (GES) venant s’ajouter aux gaz naturellement présents. Ces GES n’agissent pas tous avec la même intensité : ils ont une capacité à absorber (absorptivité et « largeur spectrale » sur laquelle ils absorbent) et une « durabilité ». Cet effet est synthétisé dans un indice nommé ''Potentiel de Réchauffement Global'' (PRG). Ainsi, le méthane (CH<sub>4</sub>), même s’il reste beaucoup moins longtemps dans l’atmosphère que le CO<sub>2</sub>, a un PRG 23 fois plus élevé que lui. | L’action de l’homme sur l’effet de serre s’effectue par le rejet de gaz à effets de serre (GES) venant s’ajouter aux gaz naturellement présents. Ces GES n’agissent pas tous avec la même intensité : ils ont une capacité à absorber (absorptivité et « largeur spectrale » sur laquelle ils absorbent) et une « durabilité ». Cet effet est synthétisé dans un indice nommé ''Potentiel de Réchauffement Global'' (PRG). Ainsi, le méthane (CH<sub>4</sub>), même s’il reste beaucoup moins longtemps dans l’atmosphère que le CO<sub>2</sub>, a un PRG 23 fois plus élevé que lui. |