Les républicains forment alors une nébuleuse assez peu organisée, influencée par plusieurs journaux, notamment ''[[w:Le National (France)|Le National]]'' (qui représente la [[bourgeoisie]] républicaine) et ''[[w:La Réforme (journal, 1843)|La Réforme]]'' (plus radical, représentant la [[petite-bourgeoisie]] républicaine). Des revendications ouvrières avaient commencé à émerger, comme la [[révolte des Canuts]] à Lyon (1831), mais le [[Mouvement ouvrier en France|mouvement ouvrier]] n'était pas encore développé (il est par ailleurs empêché de s'organisé par [[Loi Le Chapelier|la loi]]) et encore moins conscient de lui-même. Les leaders influents dans le monde ouvrier étaient des républicains socialistes plus ([[Auguste Blanqui]]) ou moins ([[Louis Blanc]], [[Pierre-Joseph Proudhon|Proudhon]]) radicaux. | Les républicains forment alors une nébuleuse assez peu organisée, influencée par plusieurs journaux, notamment ''[[w:Le National (France)|Le National]]'' (qui représente la [[bourgeoisie]] républicaine) et ''[[w:La Réforme (journal, 1843)|La Réforme]]'' (plus radical, représentant la [[petite-bourgeoisie]] républicaine). Des revendications ouvrières avaient commencé à émerger, comme la [[révolte des Canuts]] à Lyon (1831), mais le [[Mouvement ouvrier en France|mouvement ouvrier]] n'était pas encore développé (il est par ailleurs empêché de s'organisé par [[Loi Le Chapelier|la loi]]) et encore moins conscient de lui-même. Les leaders influents dans le monde ouvrier étaient des républicains socialistes plus ([[Auguste Blanqui]]) ou moins ([[Louis Blanc]], [[Pierre-Joseph Proudhon|Proudhon]]) radicaux. |