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[[File:RevolutionnairesMexique1911.gif|right|358x221px|RevolutionnairesMexique1911.gif]]La '''révolution mexicaine''' (en espagnol ''Revolución mexicana'') est la suite de soulèvements populaires, de coups d'État et de conflits armés entre factions qui se produisirent au Mexique entre 1910 et 1920.
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La '''révolution mexicaine''' (en espagnol ''Revolución mexicana'') est la suite de soulèvements populaires, de coups d'État et de conflits armés entre factions qui se produisirent au Mexique entre 1910 et 1920.{{AjoutDates|20/11/1910|10/12/1920}}
    
Pendant l’essentiel de son histoire, le Mexique avait été dominé par une petite élite qui se taillait la part du lion, pendant que la majorité de la population vivait dans une écrasante misère. L’opposition à Díaz émergea sous la direction de la bourgeoisie libérale, représentée par des individus tels que Madero. Mais le moteur réel de la révolution venait d’en bas. La classe ouvrière mexicaine, encore toute jeune, faisait ses premiers pas. D’importantes luttes secouèrent le pays, comme par exemple la grève des mineurs de Canaena. Sentant que le sol se dérobait sous ses pieds, le Général Díaz organisa des élections en 1910. Mais pour être certain de l’emporter, il jeta en prison son principal opposant, Madero.
 
Pendant l’essentiel de son histoire, le Mexique avait été dominé par une petite élite qui se taillait la part du lion, pendant que la majorité de la population vivait dans une écrasante misère. L’opposition à Díaz émergea sous la direction de la bourgeoisie libérale, représentée par des individus tels que Madero. Mais le moteur réel de la révolution venait d’en bas. La classe ouvrière mexicaine, encore toute jeune, faisait ses premiers pas. D’importantes luttes secouèrent le pays, comme par exemple la grève des mineurs de Canaena. Sentant que le sol se dérobait sous ses pieds, le Général Díaz organisa des élections en 1910. Mais pour être certain de l’emporter, il jeta en prison son principal opposant, Madero.
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Madero s’évada de prison et lança un appel à l’insurrection nationale. Mais pour être victorieuse, la lutte pour la démocratie devait se lier aux questions les plus urgentes qui agitaient la majorité de la population – c’est-à-dire la paysannerie. La lutte des paysans pour la terre était le moteur réel de la révolution. Les armées paysannes de Pancho Villa, dans le nord, et du dirigeant paysan Emiliano Zapata, dans le sud, harcelaient l’armée mexicaine.
 
Madero s’évada de prison et lança un appel à l’insurrection nationale. Mais pour être victorieuse, la lutte pour la démocratie devait se lier aux questions les plus urgentes qui agitaient la majorité de la population – c’est-à-dire la paysannerie. La lutte des paysans pour la terre était le moteur réel de la révolution. Les armées paysannes de Pancho Villa, dans le nord, et du dirigeant paysan Emiliano Zapata, dans le sud, harcelaient l’armée mexicaine.
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== Les prémices ==
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==Les prémices==
    
Lorsque, en 1910, éclata la Conspiration dite de Madero, le Mexique connaissait depuis 37 ans une dictature qualifiée par les uns de « paternelle », par les autres de « tyrannique », selon que les observateurs faisaient partie des classes privilégiées ou des classes pauvres. Mais sans doute rien ne peut-il mieux illustrer cette dictature que la règle d'action adoptée par Porfirio Diaz, le tout-puissant président, et qui fut reprise plus tard par un successeur un peu mieux averti cependant des réalités de la dictature moderne : « ''Il vaut mieux verser un peu de mauvais sang pour épargner celui des honnêtes gens'' ».
 
Lorsque, en 1910, éclata la Conspiration dite de Madero, le Mexique connaissait depuis 37 ans une dictature qualifiée par les uns de « paternelle », par les autres de « tyrannique », selon que les observateurs faisaient partie des classes privilégiées ou des classes pauvres. Mais sans doute rien ne peut-il mieux illustrer cette dictature que la règle d'action adoptée par Porfirio Diaz, le tout-puissant président, et qui fut reprise plus tard par un successeur un peu mieux averti cependant des réalités de la dictature moderne : « ''Il vaut mieux verser un peu de mauvais sang pour épargner celui des honnêtes gens'' ».
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Un tel programme suffisait cependant à le faire traiter de « juif idéaliste et rêveur socialiste » par un journaliste américain.
 
Un tel programme suffisait cependant à le faire traiter de « juif idéaliste et rêveur socialiste » par un journaliste américain.
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== Début de la révolution ==
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==Début de la révolution==
    
Cet homme, Madero, devint dès 1911, le symbole de la révolution, dans tout ce que ce mot peut impliquer de notions vagues et d'aspirations confuses. Aux yeux des masses, le « petit homme barbu », sorte de nouveau Messie, allait apporter la fin de leurs souffrances. Il n'est d'ailleurs que de penser à la foi aveugle que manifestaient à son égard des chefs tels que Zapata, ou Franscisco Villa, pour imaginer tout ce que les « peones » pouvaient cristalliser d'espérances sur sa personne.
 
Cet homme, Madero, devint dès 1911, le symbole de la révolution, dans tout ce que ce mot peut impliquer de notions vagues et d'aspirations confuses. Aux yeux des masses, le « petit homme barbu », sorte de nouveau Messie, allait apporter la fin de leurs souffrances. Il n'est d'ailleurs que de penser à la foi aveugle que manifestaient à son égard des chefs tels que Zapata, ou Franscisco Villa, pour imaginer tout ce que les « peones » pouvaient cristalliser d'espérances sur sa personne.
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Et de se lamenter. Que firent les députés en des instants aussi décisifs ? « Ils se turent, ils pâlirent ... », « Ils sanctifièrent le crime de Huerta ».
 
Et de se lamenter. Que firent les députés en des instants aussi décisifs ? « Ils se turent, ils pâlirent ... », « Ils sanctifièrent le crime de Huerta ».
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== Dictature et chute de Huerta (1913-1914) ==
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==Dictature et chute de Huerta (1913-1914)==
    
[[File:Jefes Zapatistas en el restaurante Sanborns.jpg|right|342x228px|Jefes Zapatistas en el restaurante Sanborns.jpg]]Mme Meloizes-Lefaivre, elle, qui est très représentative de la haute bourgeoisie, se réjouit, car « il manquait un chef ». La chose est maintenant réparée, car Huerta tient le pouvoir et c'est la réaction militaire dans toute son horreur ; police et tribunaux sont fort sommaires, les exécutions et les empoisonnements se succèdent, la peur gagne le pays. Cependant les masses, qui avaient cru en Madero, se sont désillusionnées ; la méfiance s'était emparée de Zapata dès 1912, et, après l'assassinat, c'est une véritable révolution paysanne qui commence : d'une part, dans le Sud, où la bande de Zapata est devenue une véritable force, organisée et riche, d'autre part dans le Nord, dans les États de Sonora et de Coahuila où le gouverneur, V. Carranza, prend la tête de la résistance à Huerta. Il crée un « Parti Constitutionnel » (fidèle à la Constitution républicaine de Madero) et une Armée Constitutionnelle, en faisant appel en masse aux volontaires, par un prétentieux « Manifeste à la Nation ».
 
[[File:Jefes Zapatistas en el restaurante Sanborns.jpg|right|342x228px|Jefes Zapatistas en el restaurante Sanborns.jpg]]Mme Meloizes-Lefaivre, elle, qui est très représentative de la haute bourgeoisie, se réjouit, car « il manquait un chef ». La chose est maintenant réparée, car Huerta tient le pouvoir et c'est la réaction militaire dans toute son horreur ; police et tribunaux sont fort sommaires, les exécutions et les empoisonnements se succèdent, la peur gagne le pays. Cependant les masses, qui avaient cru en Madero, se sont désillusionnées ; la méfiance s'était emparée de Zapata dès 1912, et, après l'assassinat, c'est une véritable révolution paysanne qui commence : d'une part, dans le Sud, où la bande de Zapata est devenue une véritable force, organisée et riche, d'autre part dans le Nord, dans les États de Sonora et de Coahuila où le gouverneur, V. Carranza, prend la tête de la résistance à Huerta. Il crée un « Parti Constitutionnel » (fidèle à la Constitution républicaine de Madero) et une Armée Constitutionnelle, en faisant appel en masse aux volontaires, par un prétentieux « Manifeste à la Nation ».
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Car, pendant ce temps, ce dernier avait conquis pratiquement tout le Sud du pays à sa lutte. Ses troupes sont bien organisées en particulier sa « Légion de la Mort ». Il a fait constituer par Juana Mola Mendez - qui fut un temps sa compagne - une armée de femmes amazones, qui jouera plus tard un rôle important en gardant tout le côté ouest de Mexico. Partout où il passe, Zapata fait brûler les archives, les contrats, les actes de propriété, à la grande joie des paysans. Un peu partout, de véritables jacqueries éclatent, des haciendas sont brûlées, et on n'épargne pas le supplice des fourmis aux Espagnols qu'on rencontre, riches propriétaires ou non. On commence à partager des terres. Tout cela se fait dans le plus grand désordre, mais avec âpreté et passion. « Et ce qui avait commencé par être une simple révolution politique devint, grâce à la prise des armes par les paysans, dirigés par Zapata, une révolution paysanne » (Victor Alba).
 
Car, pendant ce temps, ce dernier avait conquis pratiquement tout le Sud du pays à sa lutte. Ses troupes sont bien organisées en particulier sa « Légion de la Mort ». Il a fait constituer par Juana Mola Mendez - qui fut un temps sa compagne - une armée de femmes amazones, qui jouera plus tard un rôle important en gardant tout le côté ouest de Mexico. Partout où il passe, Zapata fait brûler les archives, les contrats, les actes de propriété, à la grande joie des paysans. Un peu partout, de véritables jacqueries éclatent, des haciendas sont brûlées, et on n'épargne pas le supplice des fourmis aux Espagnols qu'on rencontre, riches propriétaires ou non. On commence à partager des terres. Tout cela se fait dans le plus grand désordre, mais avec âpreté et passion. « Et ce qui avait commencé par être une simple révolution politique devint, grâce à la prise des armes par les paysans, dirigés par Zapata, une révolution paysanne » (Victor Alba).
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== Guerre entre factions révolutionnaires ==
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==Guerre entre factions révolutionnaires==
    
Au milieu de l'année 1913 le Mexique a donc échangé le dictateur Porfirio Piaz contre le général Huerta, dictateur. Cet homme féroce, représentant les milieux les plus réactionnaires du pays, qui avait fait assassiner Madero, ne réussit pas cependant à asseoir son pouvoir.
 
Au milieu de l'année 1913 le Mexique a donc échangé le dictateur Porfirio Piaz contre le général Huerta, dictateur. Cet homme féroce, représentant les milieux les plus réactionnaires du pays, qui avait fait assassiner Madero, ne réussit pas cependant à asseoir son pouvoir.
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Les insurgés prirent cela comme une menace directe, et Zapata mit ses troupes à la disposition de Huerta contre les USA. Incapable de garder la direction du pays en faisant les concessions nécessaires à la révolution montante, tout en donnant satisfaction à ses maîtres américains, Huerta démissionna le 15 juillet 1914, pour fuir aux États-Unis.
 
Les insurgés prirent cela comme une menace directe, et Zapata mit ses troupes à la disposition de Huerta contre les USA. Incapable de garder la direction du pays en faisant les concessions nécessaires à la révolution montante, tout en donnant satisfaction à ses maîtres américains, Huerta démissionna le 15 juillet 1914, pour fuir aux États-Unis.
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== Victoire et chute de Carranza (1916-1919) ==
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==Victoire et chute de Carranza (1916-1919)==
    
Désormais le bourgeois libéral Carranza était le chef reconnu. Mais il était déjà trop tard pour endiguer la colère populaire. Carranza, cantonné à Mexico nomma des présidents très provisoires qui se succédèrent à un rythme rapide, Carbajal, Iturbide, etc... tandis que les armées populaires qu'il était censé diriger, se divisaient entre leurs chefs directs et pour certains, radicaux. Au nord-ouest Obregon et l'instituteur Calles, au nord-est Gonzales, dans l'État de Chihuahua le déjà légendaire Pancho Villa, et dans le sud Emiliano Zapata dirigeaient chacun leur troupe en ne prenant d'ordres que d'eux-mêmes et en n'accordant à Carranza qu'un pouvoir bien symbolique et réduit en fait aux limites de la ville de Mexico. Carranza tenta de réprimer en septembre 1914 une révolte de Villa, mais il fut contraint immédiatement après de réunir une conférence à Aguas-Calientes où la représentation des zapatistes l'emporta de beaucoup.
 
Désormais le bourgeois libéral Carranza était le chef reconnu. Mais il était déjà trop tard pour endiguer la colère populaire. Carranza, cantonné à Mexico nomma des présidents très provisoires qui se succédèrent à un rythme rapide, Carbajal, Iturbide, etc... tandis que les armées populaires qu'il était censé diriger, se divisaient entre leurs chefs directs et pour certains, radicaux. Au nord-ouest Obregon et l'instituteur Calles, au nord-est Gonzales, dans l'État de Chihuahua le déjà légendaire Pancho Villa, et dans le sud Emiliano Zapata dirigeaient chacun leur troupe en ne prenant d'ordres que d'eux-mêmes et en n'accordant à Carranza qu'un pouvoir bien symbolique et réduit en fait aux limites de la ville de Mexico. Carranza tenta de réprimer en septembre 1914 une révolte de Villa, mais il fut contraint immédiatement après de réunir une conférence à Aguas-Calientes où la représentation des zapatistes l'emporta de beaucoup.
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Ce sont encore les ombres de Pancho Villa et d'Emiliano Zapata, généraux paysans qui incarnèrent la Révolution pour des millions d'hommes pendant plusieurs années, qui font du Mexique, le pays où rien ne peut se faire, qu'au nom de la Révolution.
 
Ce sont encore les ombres de Pancho Villa et d'Emiliano Zapata, généraux paysans qui incarnèrent la Révolution pour des millions d'hommes pendant plusieurs années, qui font du Mexique, le pays où rien ne peut se faire, qu'au nom de la Révolution.
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== Bilan ==
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==Bilan==
    
Le bilan des pertes humaines est estimé à 2 millions, pour une population de 15 169 369 en 1910.
 
Le bilan des pertes humaines est estimé à 2 millions, pour une population de 15 169 369 en 1910.
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== Théorie de la révolution permanente ==
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==Théorie de la révolution permanente==
    
[[File:AfficheFCR-Mexique.jpg|thumb|right|329x459px|AfficheFCR-Mexique.jpg]]Dans sa théorie de la [[Révolution_permanente|révolution permanente]], Léon Trotski expliquait que la bourgeoisie des pays retardataires est incapable de mener à bien les tâches de la [[Révolution_bourgeoise|révolution bourgeoise-démocratique]], du fait de ses liens avec les grands propriétaires terriens et les impérialistes. Les banques ont des hypothèques sur des terres, les industriels ont de grandes propriétés dans le pays, les propriétaires terriens investissent dans l’industrie, etc. Tous sont liés entre eux et à l’impérialisme par une multitude d’intérêts qui les conduit à s’opposer à tout changement important.
 
[[File:AfficheFCR-Mexique.jpg|thumb|right|329x459px|AfficheFCR-Mexique.jpg]]Dans sa théorie de la [[Révolution_permanente|révolution permanente]], Léon Trotski expliquait que la bourgeoisie des pays retardataires est incapable de mener à bien les tâches de la [[Révolution_bourgeoise|révolution bourgeoise-démocratique]], du fait de ses liens avec les grands propriétaires terriens et les impérialistes. Les banques ont des hypothèques sur des terres, les industriels ont de grandes propriétés dans le pays, les propriétaires terriens investissent dans l’industrie, etc. Tous sont liés entre eux et à l’impérialisme par une multitude d’intérêts qui les conduit à s’opposer à tout changement important.
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La décrépitude de l’ordre établi était telle, au Mexique, que les insurgés mexicains réussirent à prendre le dessus sur les forces gouvernementales, dans leurs régions respectives. En mai 1911, Díaz démissionna. Madero fut élu président du pays. Mais le nouveau gouvernement bourgeois ne répondit pas aux attentes de la paysannerie insurgée. Sous la direction d’Emiliano Zapata, la guerre paysanne continua. Madero exhorta les paysans à attendre patiemment une réforme agraire en bonne et due forme, mais les paysans avaient entendu trop de promesses creuses de la part de gouvernements qui prétendaient se soucier de leurs intérêts.
 
La décrépitude de l’ordre établi était telle, au Mexique, que les insurgés mexicains réussirent à prendre le dessus sur les forces gouvernementales, dans leurs régions respectives. En mai 1911, Díaz démissionna. Madero fut élu président du pays. Mais le nouveau gouvernement bourgeois ne répondit pas aux attentes de la paysannerie insurgée. Sous la direction d’Emiliano Zapata, la guerre paysanne continua. Madero exhorta les paysans à attendre patiemment une réforme agraire en bonne et due forme, mais les paysans avaient entendu trop de promesses creuses de la part de gouvernements qui prétendaient se soucier de leurs intérêts.
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== Bibliographie ==
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==Bibliographie==
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*I. Blasco, ''La Révolution mexicaine et la dictature militaire'', trad. L. Fonges, Vuibert, Paris, 1923.  
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*I. Blasco, ''La Révolution mexicaine et la dictature militaire'', trad. L. Fonges, Vuibert, Paris, 1923.
*F. Chevalier, "Un facteur décisif de la révolution agraire au Mexique: le soulèvement de Zapata, 1911-1919", dans ''Annales: * Économies, sociétés, civilisations'', vol. 16, {{numéro}}1, Paris, 1961, {{p.|66-82}}.  
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*F. Chevalier, "Un facteur décisif de la révolution agraire au Mexique: le soulèvement de Zapata, 1911-1919", dans ''Annales: * Économies, sociétés, civilisations'', vol. 16, {{numéro}}1, Paris, 1961, <span style="white-space:nowrap">{{abréviation discrète|1=p.|2=page}}&nbsp;66-82</span>.
*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Charles C.|nom1 = Cumberland|titre = Mexican Revolution : Gensis under Madero|volume = 1|éditeur = University of Texas Press|année = 1972|id = Cumberland1972a}}  
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*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Charles C.|nom1 = Cumberland|titre = Mexican Revolution : Gensis under Madero|volume = 1|éditeur = University of Texas Press|année = 1972|id = Cumberland1972a}}
*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Charles C.|nom1 = Cumberland|titre = Mexican Revolution : the Constitutionnalist Years|volume = 2|éditeur = University of Texas Press|année = 1972|id = Cumberland1972b}}  
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*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Charles C.|nom1 = Cumberland|titre = Mexican Revolution : the Constitutionnalist Years|volume = 2|éditeur = University of Texas Press|année = 1972|id = Cumberland1972b}}
*''Dictionary of American biography'', éd. D. Malone, Vol. 4, Londres, 1936.  
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*''Dictionary of American biography'', éd. D. Malone, Vol. 4, Londres, 1936.
*''Encyclopedia of Mexico'', éd. Werner S. Michael, Dearborn, Chicago, 1997.  
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*''Encyclopedia of Mexico'', éd. Werner S. Michael, Dearborn, Chicago, 1997.
*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Adolfo|nom1 = Gilly|titre = La Révolution mexicaine. 1910-1920 : une révolution interrompue, une guerre paysanne pour la terre et le pouvoir|traducteur = Pierre-Luc Abramson et Jean-Pierre Paute|éditeur = éditions Syllepse|année = 1995}}  
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*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Adolfo|nom1 = Gilly|titre = La Révolution mexicaine. 1910-1920 : une révolution interrompue, une guerre paysanne pour la terre et le pouvoir|traducteur = Pierre-Luc Abramson et Jean-Pierre Paute|éditeur = éditions Syllepse|année = 1995}}
*M. Humbert, ''Le Mexique'', Que sais-je, PUF, Paris, 1976.  
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*M. Humbert, ''Le Mexique'', Que sais-je, PUF, Paris, 1976.
*E. Jauffret, ''Révolution et sacrifice au Mexique'', Les éditions du Cerf, Paris, 1986.  
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*E. Jauffret, ''Révolution et sacrifice au Mexique'', Les éditions du Cerf, Paris, 1986.
*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Friedrich|nom1 = Katz|titre = The Life and Times of Pancho Villa|éditeur = Stanford University Press|année = 1998}}  
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*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Friedrich|nom1 = Katz|titre = The Life and Times of Pancho Villa|éditeur = Stanford University Press|année = 1998}}
*{{ouvrage|langue = es|prénom1 = Vito|nom1 = Alessio Robles | titre = La Convención revolucionaria de Aguascalientes,Tomo XXXIII|éditeur = Todo |année = 1950 }}  
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*{{ouvrage|langue = es|prénom1 = Vito|nom1 = Alessio Robles | titre = La Convención revolucionaria de Aguascalientes,Tomo XXXIII|éditeur = Todo |année = 1950 }}
*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Alan|nom1 = Knight|titre = The Mexican Revolution: Porfirians, Liberals and Peasants|volume = 1|éditeur = University of Nebraska Press|année = 1990|id = Knight1990a}}  
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*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Frank|nom1 = McLynn|titre = Villa and Zapata. A Biography of the Mexican Revolution|éditeur = Pimlico|année = 2001}}  
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*{{ouvrage|langue = en|prénom1 = Frank|nom1 = McLynn|titre = Villa and Zapata. A Biography of the Mexican Revolution|éditeur = Pimlico|année = 2001}}
*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Jean|nom1 = Meyer|titre = La Révolution mexicaine. 1910-1940|éditeur = Texto|année = 2010}}  
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*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Jean|nom1 = Meyer|titre = La Révolution mexicaine. 1910-1940|éditeur = Texto|année = 2010}}
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*A. Musset, ''Le Mexique'', Que sais-je, PUF, Paris, 2004.  
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*A. Musset, ''Le Mexique'', Que sais-je, PUF, Paris, 2004.
*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Americo|nom1 = Nunes|titre = Les Révolutions du Mexique|éditeur = Flammarion|édition = 1|année = 1975}}  
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*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Americo|nom1 = Nunes|titre = Les Révolutions du Mexique|éditeur = Flammarion|édition = 1|année = 1975}}
*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = H. B.|nom1 = Parkes|titre = Histoire du Mexique|traducteur = J. Soustelle|éditeur = Payot|année = 1939}}  
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*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Bernard|nom1 = Oudin|titre = Villa, Zapata et le Mexique en feu|éditeur = Gallimard|année = 1989}}  
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*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Manuel|nom1 = Plana|titre = Pancho Villa et la révolution mexicaine|traducteur = Bruno Gaudenzi|éditeur = Casterman|année = 1993}}  
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*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = Jesús|nom1 = Silva Herzog|titre = La Révolution mexicaine|traducteur = Raquel Thiercelin|éditeur = Maspero|année = 1977}}  
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*{{ouvrage|langue = es|prénom1 = Fernando|nom1 Orozco Linares|titre = Porfirio Diaz y su tiempo|editeur = Panorama |année = 1986}}  
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*{{ouvrage|langue = es|prénom1 = Fernando|nom1 Orozco Linares|titre = Porfirio Diaz y su tiempo|editeur = Panorama |année = 1986}}
*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = John|nom1 = Womack|titre = Emiliano Zapata|traducteur = FrédéricIllouz|éditeur = La Découverte|année = 1997}}  
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*{{ouvrage|langue = fr|prénom1 = John|nom1 = Womack|titre = Emiliano Zapata|traducteur = FrédéricIllouz|éditeur = La Découverte|année = 1997}}
*S. Zavala, ''Aperçus sur l’histoire du Mexique'', Société des langues néo-latines, Paris, 1963.  
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*S. Zavala, ''Aperçus sur l’histoire du Mexique'', Société des langues néo-latines, Paris, 1963.
*{{ouvrage|langue = es|prénom1 = Enrique|nom1 = Krauze|titre = Entre el Angel y el Fierro, Francisco Villa|éditeur = Fondo de cultura económica | année = 1992}}  
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*{{ouvrage|langue = es|prénom1 = Enrique|nom1 = Krauze|titre = Entre el Angel y el Fierro, Francisco Villa|éditeur = Fondo de cultura económica | année = 1992}}
*{{ouvrage|langue = es|prénom = Berta|nom1 = Ulloa|titre = La Revolucíón escindinda, Historia de la Revolucíón mexicana (periodo 1914-1917) |éditeur = El Colegio de México| année = 1979}}  
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*{{ouvrage|langue = es|prénom = Berta|nom1 = Ulloa|titre = La Revolucíón escindinda, Historia de la Revolucíón mexicana (periodo 1914-1917) |éditeur = El Colegio de México| année = 1979}}
*{{ouvrage|langue = es |prénom1= Luis|nom1 = Pazos |titre= Historia sinóptica de México - De los Olmecas a Salinas|éditeur = Diana|{{ISBN|968-13-2560-5}} |année=1994}}  
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*{{ouvrage|langue = es |prénom1= Luis|nom1 = Pazos |titre= Historia sinóptica de México - De los Olmecas a Salinas|éditeur = Diana|{{ISBN|968-13-2560-5}} |année=1994}}
 
*{{ouvrage|langue=fr |prénom1=Paco Ignacio|nom1=Taibo II |lien auteur1=Paco Ignacio Taibo II|titre=Pancho Villa. Roman d'une vie|traducteur=Claude Bleton|tome=1|éditeur=Payot |année=2012}}  
 
*{{ouvrage|langue=fr |prénom1=Paco Ignacio|nom1=Taibo II |lien auteur1=Paco Ignacio Taibo II|titre=Pancho Villa. Roman d'une vie|traducteur=Claude Bleton|tome=1|éditeur=Payot |année=2012}}  
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