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[[File:Guerre civile grecque.jpg|right|358x240px|Guerre civile grecque.jpg]]Après la [[Seconde_guerre_mondiale|Seconde Guerre Mondiale]], la [[Monarchie|monarchie]] est rétablie en Grèce sous la forme d'un régime autoritaire protégé par les [[Royaume-Uni|Britanniques]] et, de plus en plus, par les Américains, place les anciens résistants dans une situation difficile ; une répression anticommuniste frappe d'anciens résistants. Le KKE (Parti Communiste de Grèce) ne peut pas accepter une telle évolution. L'intensité de l'antagonisme débouche sur la '''guerre civile''', qui dure de 1946 à 1949.
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Après la [[Seconde_guerre_mondiale|Seconde Guerre Mondiale]], la [[Monarchie|monarchie]] est rétablie en Grèce sous la forme d'un régime autoritaire protégé par les [[Royaume-Uni|Britanniques]] et, de plus en plus, par les Américains, place les anciens résistants dans une situation difficile&nbsp;; une répression anticommuniste frappe d'anciens résistants. Le KKE (Parti Communiste de Grèce) ne peut pas accepter une telle évolution. L'intensité de l'antagonisme débouche sur la '''guerre civile''', qui dure de 1946 à 1949.
    
== Contexte ==
 
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Une diaspora communiste s'implanta en Yougoslavie et dans d'autres pays d'Europe de l'Est (dont l'Allemagne de l'Est), où elle se trouva rapidement marginalisée en raison de la barrière de la langue et de l'hostilité des populations locales, qui voyait, dans ces étrangers ravitaillés par le Parti, des privilégiés et des alliés de leurs oppresseurs. À partir de 1985 et grâce aux lois d'amnistie, beaucoup de ces familles de Koukoués (communistes, mot issu des initiales du parti communiste, KKE) désenchantés rentrèrent en Grèce malgré les difficultés d'intégration. Certains avaient entretemps appris le russe, le roumain, le serbe, etc. et avaient perdu l'usage du grec. De plus, la plupart n'avaient pas connu l'économie de marché.
 
Une diaspora communiste s'implanta en Yougoslavie et dans d'autres pays d'Europe de l'Est (dont l'Allemagne de l'Est), où elle se trouva rapidement marginalisée en raison de la barrière de la langue et de l'hostilité des populations locales, qui voyait, dans ces étrangers ravitaillés par le Parti, des privilégiés et des alliés de leurs oppresseurs. À partir de 1985 et grâce aux lois d'amnistie, beaucoup de ces familles de Koukoués (communistes, mot issu des initiales du parti communiste, KKE) désenchantés rentrèrent en Grèce malgré les difficultés d'intégration. Certains avaient entretemps appris le russe, le roumain, le serbe, etc. et avaient perdu l'usage du grec. De plus, la plupart n'avaient pas connu l'économie de marché.
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